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Un trône pour deux déesses ou deux trônes et deux déesses

Couverture du livre « Un trône pour deux déesses ou deux trônes et deux déesses » de Maurice Arlet aux éditions Societe Des Ecrivains
Résumé:

Maurice Arlet ancien élève de l'Ecole Polytechnique et Docteur en Histoire a accompli la majeure partie de sa carrière professionnelle au sein d'un grand groupe industriel français. Depuis sa retraite, il se penche avec sa double formation scientifique et littéraire sur les évènements... Voir plus

Maurice Arlet ancien élève de l'Ecole Polytechnique et Docteur en Histoire a accompli la majeure partie de sa carrière professionnelle au sein d'un grand groupe industriel français. Depuis sa retraite, il se penche avec sa double formation scientifique et littéraire sur les évènements historiques, en général peu connus du grand public.

De 1790 à 1793 les ténors du club des Cordeliers avaient pour objectif parmi d'autres, de détruire l'Eglise catholique et de la remplacer par une religion sans Dieu. Notre Dame transformée en temple de la Raison accueillit ainsi le 20 brumaire an II, le nouveau culte lors d'une cérémonie grandiose patronnée par une déesse en chair et en os. Celle-ci placée sur un trône avait été choisie en fonction de son patriotisme et de sa plastique. Quelle était donc cette déesse ? Journaux, chroniqueurs et historiens sans se mettre d'accord ont avancé pour cette déesse, plusieurs noms; il semble que deux seulement puissent prétendre à cette dignité, toutes deux actrices de l'opéra, Mlle Aubry du corps de ballet et Mlle Maillard célèbre cantatrice de l'époque. Des recherches ont conduit, en outre, l'auteur à émettre une hypothèse contraire à l'opinion généralement exprimée. Elles y auraient été toutes les deux l'une personnifiant la Liberté, l'autre la Raison. L'auteur décrit alors dans le détail la vie de ces deux personnalités avant, pendant et après la révolution, jusqu'à leur mort sous la Restauration. Il y ajoute la description des révolutionnaires adroits, qui tels Sieyes, à l'opposé des forcenés de la campagne de déchristianisation, ont traversé cette période sans dommage.

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