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Quatrième de couverture John, le personnage principal de ce roman, annonce la couleur. Et il n'épargne personne surtout pas l'homme « qu'est pas son père », qui n'hésite pas à le frapper ; surtout pas Mrs. Moonface et les autres professeurs de son « anti-école » sur lesquels il jette un regard caustique ; surtout pas une mère absente et épuisée par la vie à qui il s'adresse pourtant tout au long de ce récit.
Mais il ne s'agit pas pour autant d'un règlement de comptes... Ouvrir Tu ne me connais pas, c'est entendre résonner à son oreille la voix de John, fière et forte. C'est apprendre à le connaître, découvrir sa réalité brutale et troublante.
Face à des situations qui en laisseraient plus d'un sur le tapis, John s'avère plein de ressources. Il démonte avec lucidité le monde qui l'entoure, le rendant plus supportable. Ou comment transformer un ennuyeux cours de tuba en une rencontre avec un crapaud géant se prenant pour un instrument ; comment faire en sorte que l'humour et l'autodérision prennent en permanence le pas sur la difficulté à vivre...
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