80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
J'avais quatre mois quand mon père est mort. Personne ne m'en a parlé et je n'ai pas demandé grand-chose. J'ai construit ma vie avec son ombre. Cette lettre, qui lui est adressée, décrit comment j'ai grandi sans lui, comment je me suis débrouillé avec lui, comment on m'a abîmé et comment on m'a aidé. En l'écrivant, j'ai mieux compris le manque charnel que j'avais de cette présence bienveillante d'un père.
Ceux qui ont perdu tôt leur père retrouveront dans cette lettre des expériences qu'ils ont vécues. Ceux qui sont pères ou qui sont fils pourront comprendre un peu de la force qu'ils ont reçues.
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