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Jean Giraudoux a 36 ans lorsqu'il écrit en 1918 la première version de Simon le pathétique (le texte définitif paraît en 1926).
Le jeune Simon, marqué à jamais par la disparition de sa mère à sa naissance, raconte son enfance à la campagne, ses années studieuses, ses amitiés. Pour le jeune homme épris de savoir et de vertu mais aussi d'une certaine provocation railleuse et de fantaisie, l'étude est devenue une griserie et la vie une éternité. Et il connaîtra toutes les étapes de la passion amoureuse.
De jean Giraudoux l'homme de théâtre, l'auteur de Siegfried, Amphytrion 38, Électre, La guerre de Troie n'aura pas lieu ou de La Folle de Chaillot jouée en 1945, un an après sa mort, aussi bien que de jean Giraudoux le pur écrivain qui publia d'éblouissantes variations romanesques en forme de confessions comme Simon le pathétique, Kléber Haedens écrivait à bon droit : « Le charme de Giraudoux, car il faut bien employer le mot charme lorsqu'il est question de lui, ne vient pas seulement de son intelligence, de sa liberté, de son manque total de sérieux et de pompe, et de la légèreté presque angélique de ses pages.Il vient aussi d'une sorte de fraternité ironique et tendre avec tout ce qui fait l'ornement et la beauté du monde. »
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