80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
En 1970, l'auteur part en Ethiopie, où il enseignera pendant deux ans. Il y découvre divers peuples, paysans ou nomades, des hauts plateaux, des montagnes, des déserts, des jungles, des insectes, des oiseaux, des villages, des langues ; et il s'éprend passionnément de ce mélange de paradis et de cauchemar qu'il devra quitter trop vite à son goût.
Dix-huit ans durant, bourlinguant du Yémen à l'Asie et ailleurs dans le vaste monde, Marc de Gouvenain rêve de retourner à Debré Zeït. Il ne reviendra qu'en 1989, puis en 1990, parcourir le Bale, le Sidamo, l'Arussi, le Shoa, le Harar, ces régions du Centre, du Sud et du Sud-Est de l'Ethiopie qu'il connaissait le mieux. Malgré les changements politiques qu'elle a vécus, l'Ethiopie est restée la même, aussi proche et troublante que des souvenirs d'enfance. Aux nombreuses notes du premier séjour viennent s'ajouter les rencontres, les observations, les souvenirs de l'auteur, dont le récit, illustré de ses croquis, est une véritable déclaration d'amour à l'Ethiopie.
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