Des incontournables et des révélations viendront s'ajouter à cette liste au fil des semaines !
Que jouissons-nous du texte ?
Cette question, il faut la poser, ne serait-ce que pour une raison tactique : il faut affirmer le plaisir du texte contre les indifférences de la science et le puritanisme de l'analyse idéologique ; il faut affirmer la jouissance du texte contre l'aplatissement de la littérature à son simple agrément.
Comment poser cette question ? il se trouve que le propre de la jouissance, c'est de ne pouvoir être dite.
Il a donc fallu s'en remettre à une succession inordonnée de fragments : facettes, touches, bulles, phylactères d'un dessin invisible : simple mise en scène de la question, rejeton hors-science de l'analyse textuelle.
Je me suis replongée à des années d’écart dans la lecture de ces courts paragraphes, à l’image de pensées ponctuelles. Sans transition ni coordination, sans classement, le lien thématique s’y développe librement. Il conviendrait alors d’agir comme l’auteur le préconise : grappiller (p 68), survoler, revenir et confirmer le fait qu’en deux lectures – comme dans mon cas présent – les passages que l’on retient (ou pas) ne sont pas les mêmes (p 22).
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
Des incontournables et des révélations viendront s'ajouter à cette liste au fil des semaines !
A gagner : des exemplaires de cette BD jeunesse sur fond de légendes celtiques !
L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Mêlant la folie à l’amour, l’auteur nous offre le portrait saisissant d’une « femme étrange » bousculant les normes binaires de l’identité sexuelle