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" au zanzibar de la rue broca à paris, la gauloise aux lèvres, un oeil vague sur libération, il attend silencieux : "on se connaît?" le tutoiement facile et l'ardoise pleine, rené ehni a l'air d'un écrivain, n'est-ce pas merveilleusement rare ? pour l'auteur de ce petit livre grave, hymne d'amour pur à l'oeuvre de gide, hymne d'humour féroce à la condition de "l'homme de lettres", sa démarche mérite une certaine explication : "je ne sais pas moi-même si j'ai lu paludes un jour.
Ce que j'affirme c'est que quelqu'un comme gide me paraît tout à fait exceptionnel dans le sens où il a été le premier à nous dire sans ambiguïté et sans brouiller les cartes que nous ne sommes jamais maîtres de notre corps. maintenant, si tout au long de mon livre, je me complais à interroger les gens pour savoir si oui ou non ils ont lu paludes, c'est surtout parce que j'ai tenté de faire une caricature de ces gens que je rencontre à paris au cours de dîners en ville et qui ont la sensation de parler culture quand ils s'interrogent eux-mêmes pour savoir s'ils ont vu tel ou tel film, telle ou telle pièce.
Tout cela me dégoûte, car leur seul souci est de rester à la mode. " " jean-marc roberts le quotidien de paris (1974).
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