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« Il avait tant aimé sa mère qu'il avait dû s'enfuir. » Plusieurs fois. En vain. Maintenant que la cantatrice Delia Anderson est morte, qu'il n'a pas assisté à sa crémation, qu'il a fui une dernière fois, Paul est libre d'en finir lucidement avec elle, avec cet amour fait de mots cruels, de gestes d'adoration.
Paul choisit un village côtier pour en finir. Avec elle. Avec cet amour dévorant. Avec lui-même. Avec sa volonté d'exister. Mais le projet se déroute au hasard de rencontres. Paul noue des liens d'amitié pudiques. Il appartient. Il se met à exister, contre son gré. Et c'est sans compter avec des événements étrangesâeuros-
Paul Anderson hallucine-t-il les brûlures de cet amour ? Qu'est-ce que croire que l'amour entre un fils et une mère est le plus fort ? Comment s'en sortir ? Va-t-il en finir ?
Dans son premier roman, le philosophe Philippe Salazar se révèle un conteur passionné, un raconteur humain, qui situe Paul Anderson dans la lignée existentialiste du Meursault de L'Étranger de Camus. Mais dans la lumière.
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