Il n'est pas trop tard pour les découvrir... ou les offrir !
Un homme est retrouvé mort à la sortie d'un pub des Midlands, son corps lacéré de coups de couteau. Un ex-taulard, condamné pour viol. Chargée de l'affaire, l'inspectrice Kim Stone débusque rapidement la coupable : Ruth, une ancienne victime. Simple vengeance ? Sauf que quelque chose ne colle pas.
Pour comprendre les raisons de ce passage à l'acte, la policière se tourne vers Alex Thorne, une psychiatre reconnue qui suivait Ruth depuis des mois.
Dès lors, leurs chemins n'en finissent plus de se croiser. D'autres meurtres vengeurs, sauvages, d'autres assassins aux profils inattendus, avec un lien en commun : Alex Thorne.
Que se passe-t-il dans le cabinet du Dr Thorne ? Quelle thérapie propose-t-elle à ses patients ? Et pourquoi Kim se sent-elle menacée par cette psychiatre qui semble si bien la connaître ?
Le Pays Noir ou Black Country, au centre de l’Angleterre, se relève péniblement de la fermeture de ses forges et de ses aciéries. C’est dans cette région des West Midlands que travaille l’Inspectrice de Police, Kim Stone, 34 ans, secondée par son ami et coéquipier, le Sergent Bryant.
En charge d’une enquête sur un père pédophile, Kim croise plusieurs fois la route de la psychiatre Alexandra Thorne qui évalue les victimes comme les agresseurs, pour la justice anglaise.
Les rapports entre Kim et cette psychiatre prennent immédiatement une tournure conflictuelle et devant la répétition de plusieurs cas de passages à l’acte incompréhensibles, l’inspectrice se met à douter des réelles intentions de cette spécialiste du cerveau humain.
Une passionnante plongée dans les travers de l’esprit dans laquelle l’auteure se penche sur les techniques de manipulation mentale et sur les mécanismes de psychoses comme la sociopathie.
Ce roman noir, plein de recoupements et de déductions, soulève le sujet à la fois passionnant et terrifiant de ces « monstres » qui sommeillent en nous.
Après l’excellent Pensionnat des innocentes, Angela Marsons nous offre un polar totalement addictif, « conduit sur des chapeaux de roue », qui m’a fait retrouver avec beaucoup de plaisir la très attachante Inspectrice Stone. Son charisme, son mauvais caractère, sa passion pour la moto et ses traumatismes d’enfance enfouis, en font sans aucun doute, mon inspectrice favorite.
Un thriller très réussi.
Nos monstres, Evil Games dans la version originale parue en , a été publié en 2021 par les éditions Belfond. Le style est brut de décoffrage, caractérisé par un vocabulaire et une syntaxe sculptés dans la pierre des mots: "Elle s'essuie les mains sur un torchon qui traîne par là et, dressée de toute sa hauteur, se campe devant le nouveau venu. Ils font presque la même taille. Une main sur la hanche, elle glisse instinctivement l'autre dans ses cheveux noirs ébouriffés. C'est un rituel avant chaque bataille. Bryant y est habitué. -Qu'est-ce que tu veux? . Bryant évite prudemment les pièces détachées de moto éparpillées au sol." (Page 15)...Et des dialogues à l'emporte-pièce qui donnent au roman une touche de dérision, allégeant un peu l'atmosphère: "Il lui tend une tasse de café avant de s'appuyer contre l'établi. -J'ai vu que tu t'étais remise à la pâtisserie? -Tu en as pris un? -Il s'esclaffe. -Non, sans façon. Je tiens à ma vie, et je n'avale rien que je ne puisse identifier. On dirait des mines afghanes. -Ce sont des biscuits." (Page 18)
Un humour dans la même veine, des formules grinçantes, un souffle revigorant décoiffe le lecteur: "Bryant tire un paquet de pastilles contre la toux de la poche de sa veste. Il lui en propose une, qu'elle refuse. -Tu devrais vraiment te sevrer de ces cochonneries, dit-elle, assaillie par l'odeur de menthe. Bryant y est accro depuis qu'il a arrêté de fumer quarante cigarettes par jour. -Ca m'aide à réfléchir. -Dans ce cas, prends-en deux." (Page 53)...Bryant pousse un soupir. -C'est peut-être un coup des lutins. -Quoi? Il rapporte deux tasses à la machine à café. -Superstition de mineurs. Quand un lutin s'énerve, il cache les outils, vole les bougies, surgit derrière des monticules de charbon, bref, emmerde tout le monde. Personne n'en a jamais vu, mais dans les mines, on croit dur comme fer à leur existence. -Merci pour l'info. On n'a plus qu'à chercher la jumelle maléfique de Clochette." (Pages 92-93)
Thèmes: mères malfaisantes ( Wendy Dunn, mère de Kim); enfants maltraités; enfants et femmes violentées.
Un homme est retrouvé mort dans une ruelle, poignardé de plusieurs coups de couteau à l'abdomen. Il s'agit d'un ancien taulard, condamné pour avoir violé sauvagement et tabassé une jeune femme qu'il avait laissée pour morte mais qui a survécu.
Deux jours plus tard, l'inspectrice Kim et son équipe identifient et arrêtent la meurtrière: Ruth, celle-là même pour laquelle il a été condamné. Comme dit Kim: victime + coupable = fin de l'enquête. Mais les choses ne sont pas si simples.
Le superintendant demande à Kim d'approfondir le dossier qui doit être en béton armé s'ils veulent que la coupable soit condamnée. Le moindre vice de procédure, la moindre faille permettrait à un bon avocat de s'engouffrer dans la brèche et de la faire acquitter.
Lorsque Kim reprend les éléments du dossier, elle constate rapidement que quelque chose ne colle pas. Pourquoi Ruth est-elle passée à l'acte maintenant? Simple vengeance? Dans ce cas, pourquoi s'être acharnée sur le corps d'Alan Harris alors que le premier coup de couteau était fatal? Pour comprendre ce qu'il s'est vraiment passé Kim et Bryant s'adressent à Alexandra Thorne, la psychiatre qui suivait Ruth avant le meurtre.
Kim, qui ne s'est pas laissée embobiner par le charme du médecin, est mise en alerte par des détails qui la dérangent. Dès lors, un combat acharné s'engagent entre les deux femmes, menant Kim au bord de l'implosion et faisant resurgir les blessures de son passé. S'en sortira-t-elle indemne? Réussira-t-elle à prouver la responsabilité d'Alexandra?
Parmi tous les romans policiers que je lis dans une année, quels sont les critères qui font qu'un polar retienne plus particulièrement mon intérêt et qui me donne envie de le lire jusqu'au bout? Je dirai en premier lieu la psychologie des personnages, leurs motivations, leurs ressentis, leurs émotions, tout ce qui les rend plus proches de nous, qui en fait des êtres humains et non pas des figures de papier. Angela Marsons s'attache à expliquer l'impact des crimes sur les victimes, mais également le poids d'une enquête criminelle sur les enquêteurs, donnée primordiale si l'on veut comprendre les ressorts des investigations policières; ne jamais oublier qu'ils sont avant tout des êtres humains et non pas des super-héros capables de tout voir et de tout encaisser: "Cette enquête les a hantés à toute heure du jour et de la nuit, qu'ils soient au travail ou en repos. Après tout le calvaire de ces petites filles innocentes, toujours captives de leur père, ne cessait pas en dehors des heures de service. Chaque minute qui n'était pas consacrée à faire avancer l'enquête faisait durer leur supplice, et cette pensée suffisait pour qu'aucun agent ne compte ses heures supplémentaires." (Page 34).
De là découle la question morale intrinsèque à toute enquête criminelle: comment enquêter sur l'assassinat d'un homme qui a commis des actes irréparables, comme Alan Harris qui a sauvagement violé Ruth Willis? Comment ne pas se féliciter des coups de couteaux qui l'ont envoyé ad patres? Comment se montrer impartial et faire oeuvre de justice, qu'elle que soit la victime: "-Je comprends, seulement on n'a pas le luxe d'enquêter uniquement sur les meurtres des bons et des vertueux. -Mais comment veux-tu donner le meilleur de toi-même pour uhne sous-merde pareille? réplique-t-il en se tournant vers elle. Elle n'aime pas la tournure que prend cette conversation. -C'est notre boulot, Bryant. Tu n'as pas signé de clause qui t'autorisait à sélectionner les personnes que tu protèges. On applique la loi, et celle loi s'applique à tout le monde." (Page 74).
Le +: Angela Marsons excelle dans son analyse minutieuse du ressenti d'un tueur en puissance, de ce qui motive sa rage, son besoin de détruire, non pour absoudre mais pour comprendre; son propos est de chercher à comprendre afin de proposer une solution à la société qui, dans la plupart des cas, ne sait pas quoi faire avec les tueurs en série, les sociopathes, d'où l'importance de développer la psychologie comportementale et de former les agents: "Ce n'est pas la saleté sur son corps qui le dérange. C'est la souillure à l'intérieur. Son passé a pourri toutes ses cellules. Souvent, il s'imagine ôter ses membres et les laver à tour de rôle dans de l'eau savonneuse. Il frotterait bien avant de les remettre en place, tout beaux tout neufs...Mais le souvenir du membre de son oncle s'enfonçant en lui ne le quittera jamais, pas plus que la nausée qu'il ressent chaque fois qu'il songe aux caresses dans ses cheveux et aux paroles d'encouragement intimes qui accompagnaient l'acte. Les mots tendres chuchotés étaient pires que le viol." (Page 124)...Sans oublier les victimes...
Nos Monstres, dont l'intrigue complexe offre des fils qui partent dans plusieurs directions pour finalement se rejoindre sur un point de vue, celui des victimes d'actes irréparables, est un roman puissant, dont la lecture ne peut laisser indifférent tant avec des mots simples son auteur met le doigt sur des questionnements sensibles mais cruciaux. Tant il est vrai que, finalement, la société dite moderne se retrouve désarmée face à des crimes qu'elle ne peut et ne veut comprendre. Juger et punir pour éviter qu'ils se reproduisent, certes, est une démarche tout à fait louable. Mais est-ce suffisant? Ne faut-il pas pénétrer plus avant dans le psychisme des tueurs afin de mieux saisir ce qui les motive, ce qui les a conditionnés? Traiter le mal à la racine, telle pourrait être une solution plus envisageable sur le long terme. Nos Monstres pose la question. Y réfléchir est déjà un premier pas...
Comme annoncé précédemment, je n’ai pas tardé à lire la suite du Pensionnat des innocentes, et me voici de nouveau ravie de vous parler de la toute dernière enquête de l’inspectrice Kim Stone. Ce deuxième roman conforte mon impression première du talent d’Angela Marsons: Nos monstres est un thriller psychologique sordide et fascinant. Je précise qu’il n’est pas essentiel d’avoir lu Le pensionnat des innocentes avant celui-ci, l’auteure rappelle et développe habilement les traits de personnalité de Kim Stone ainsi que les évènements importants liés à son enfance particulièrement difficile.
Dans Nos monstres, Kim Stone mène en parallèle deux enquêtes: l’une fait suite à l’arrestation d’un père de famille ayant abusé de ses deux fillettes. Persuadée de l’implication de la mère et refusant que celle-ci puisse récupérer ses enfants, Kim poursuit ses investigations en dépit de l’avis de son chef. Dans un autre quartier de cette petite ville des Midlands, un violeur ayant purgé sa peine est retrouvé mort à la sortie d’un pub. La coupable est facilement appréhendée : il s’agit d’une de ses anciennes victimes, Ruth Willis qui aurait agi par vengeance. La jeune femme était pourtant suivie depuis plusieurs mois par une psychiatre reconnue: le docteur Alex Thorne. La personnalité de cette professionnelle antipathique interroge Kim sur les liens qu’elle entretient avec ses patients… D’autres meurtres sont bientôt commis par des assassins aux profils inattendus. Leur point commun : l’intrigante Alex Thorne.
Le profil de cette femme médecin est particulièrement inquiétant : une psychologue sociopathe, avouez que c’est assez dérangeant! Quel portrait effrayant : arrogante, manipulatrice et insensible, Alex Thorne considère ses patients comme le moyen d’assouvir ses fantasmes les plus sordides. En quête de la perle rare qui lui permettra de trouver son ego, elle dénigre ou manipule ceux qui l’entourent dans le but de les pousser à commettre l’irréparable et à n’en éprouver aucun remords… La confrontation avec l’inspectrice Kim Stone dont on ne cesse de découvrir la personnalité abrupte sera particulièrement troublante, au risques et périls de Kim. J’ai aimé l’intensité de ces deux personnages, unies par leurs tourments psychologiques: l’une est perverse et toxique, déterminée à réaliser son aberrant projet; l’autre, prisonnière d’un lourd passé, est prête à tout pour s’en libérer. Le personnage de Kim pour lequel j’ai un véritable coup de cœur, se dévoile: on la connaissait impliquée et tourmentée, cette enquête lui donne l’opportunité d’évoluer dans sa relation compliquée avec les autres et de faire un pas vers la rédemption pour se pardonner son lourd passé. Je crois que ça prendra du temps… Enfin je l’espère, car comme vous l’aurez surement compris, j’aimerais de tout cœur, retrouver Kim Stone dans de prochaines enquêtes…
Tout dans ce récit s’organise parfaitement: l’enquête principale autour du docteur Thorne alterne avec l’énigme secondaire de manière à entretenir le suspense sans temps mort. L’action nous tient en haleine du début à la fin. Les membres de l’équipe trouvent leur place et composent avec la personnalité prépondérante de Kim, et ce n’est pas une mince affaire! Je remercie sincèrement Babelio ainsi que les Editions Belfond Noir pour ce roman obtenu dans le cadre d’une Opération Masse Critique privilège : vous avez fait de moi une fan absolue d’Angela Marsons!
Un ex taulard condamné pour viol est retrouvé mort à la sortie d'un Pub des Midlands, il s'avère très vite que la coupable n'est autre que son ancienne victime. L'inspectrice Kim Stone s'adresse très vite à la thérapeute qui la suivait pour obtenir des réponses et sans savoir pourquoi ressent en sa présence un malaise qui deviendra alors une obsession. Alors que les crimes continuent, le Dr Alex Thorne pourrait bien faire plus qu'éveiller ses soupçons...
Les femmes sont à l'honneur dans ce roman pour s'affronter dans un duel frontal et psychologique éreintant. On fait la connaissance de deux profils au passé tourmenté, qui vont en se rencontrant aussi bien se jauger que s'intimider.
C'est comme si elles étaient les seules capables de distinguer les faiblesses qu'elles dissimulent à autrui. Elles vont se vouer une fascination-haine qui va les pousser très souvent dans leurs retranchements. Kim a quant à la relation d'Alexandra avec ses patients, un mauvais pressentiment. La tension entre elles est palpable, donnant lieu à des situations ou des dialogues tactiques. On explore ici la personnalité caméléon du sociopathe, dénué d'émotions et de conscience. Le jeu est redoutable jusqu'à l'estocade finale.
"Ma sœur est une sociopathe. Si vous l'avez rencontrée, vous savez déjà qu'elle est belle, énigmatique, intelligente et charmante. Mais elle est aussi impitoyable, et elle n'a aucun sens moral. C'est quelqu'un de dangereux, qui ne s'arrêtera devant rien pour obtenir ce qu'elle souhaite... Pour résumer, elle est capable de ressentir le moindre lien émotionnel avec un autre être vivant."
L'écriture est fluide et addictive. On se laisse happer par la psychologie complexe des personnages. On se prend d'affection pour Kim et sa farouche ténacité.
Ce thriller nous précipite loin dans les tréfonds de l'âme humaine pour dénicher les monstres et les enjoindre à se libérer. Sous couverture médicale, le crime était presque parfait !
Une histoire de femmes écrite par une femme.
L'inspectrice Kim Stone, la cheffe, et Alexandra Thorne, la psychiatre, vont voir leurs routes se croiser, la première soupçonnant rapidement la seconde d'être une manipulatrice à l'origine d'événements dramatiques.
C'est d'abord une affaire de maltraitance sur des fillettes qui préoccupe la policière, lui rappelant de douloureux souvenirs, et dont la résolution avec l'incarcération du seul père ne la satisfait pas, d'autres responsables ayant selon elle échappé à la justice.
Le meurtre d'un violeur par sa victime après sa sortie de prison, affaire rapidement réglée par son équipe, ne la convainc pas plus par sa conclusion, la policière étant persuadée que la coupable qui a avoué n'est pas seule responsable de cet acte de violence.
L'auteur ne cherche pas le suspense à outrance. Les rôles sont clairement répartis dès le début du récit. Ce qui intéresse Angela Marsons se situe au niveau de la psychologie des personnages. Elle décortique le cheminement qui amène quelqu'un à user de sa position pour prendre sans aucun scrupule l'ascendant sur des personnes vulnérables, incapables de se sortir de son emprise.
Les particularités de la sociopathie sont finement décrites dans cette intrigue, dans laquelle les deux protagonistes principales se lancent dans un dangereux jeu du chat et de la souris, où chacune utilise les failles psychologiques de l'autre dans un affrontement sans merci.
Malgré une construction relativement linéaire, avec l'impression que tout est dit dès le début et que peu de surprises sont à attendre au fil du récit, je me suis laissé prendre par la force des personnages, et par l'intensité qui se dégage à mesure que les personnalités en présence montrent toute leur puissance.
Second tome, « Nos monstres » vient après « Le pensionnat des innocentes » où l’on suivait déjà notre héroïne. Nouvelle enquête pour l’inspectrice Kim Stone, une fois n’est pas coutume, c’est le violeur qui se fait trucider à sa sortie de prison par sa victime. Ruth était pourtant suivie par une psychiatre bien propre sur elle Alex Thorne. Mais alors que d’autres vengeances meurtrières s’accomplissent, Kim ne peut manquer le point commun qui les relie toutes, la fameuse psy, qui prend tout à coup une importance capitale dans son enquête. Les patients du docteur sont-ils manipulés ? L’enquête va prendre une tournure toute personnelle pour notre inspectrice au passé trouble. Un autre cas semble trouver trouve sa résolution tôt dans notre lecture et c’est tant mieux parce que le thème de la pédophilie m’a toujours laissé au bord de l’écœurement. Une écriture vive et incisive pour ce thriller britannique au rythme soutenu, qui dresse des portraits de personnage tout à fait convainquant, celui de la psy est juste parfait. Une lecture où le suspense nous prend aux tripes et nous retourne comme un pancake. Si vous aimez les thrillers psychologiques, vous êtes au bon endroit. Une intrigue brillante qui vous accroche dès le départ, intense et captivante. Portée par une héroïne solitaire, qui ne lâche jamais rien et va au fond des choses même les plus sombres. Deux intelligences face à face dont on ne sait pas qui l’emportera de la machiavélique psy ou de notre inspectrice acharnée. Tout cela ponctuée d’une touche d’humour entre Bryant et Stone qui allège la tension et ouvre des perspectives. Je surveillerai d’un œil averti la sortie d’un troisième opus. Bonne lecture.
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