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Que reste-t-il de la littérature ? Telle fut la question soulevée, il y a maintenant plus d'une décennie, par William Marx, Antoine Compagnon et Tzvetan Todorov, pour ne nommer qu'eux. Mais de cette polémique autour des fins de la littérature, que reste-t-il aujourd'hui ? Si la critique littéraire peine toujours autant à définir son objet d'étude, elle privilégie désormais le mutisme face à cette problématique insoluble : stratégie pragmatique visant à mettre la res publica literaria à l'abri des controverses lassantes. Or ce silence risque de laisser entendre que nous sommes plus que jamais persuadés de l'évidence de la littérature, comme si cette chose n'avait plus rien d'étrange et de déroutant.
C'est l'ambiguïté de ce silence que le présent essai tente d'interroger, aux côtés de deux écrivains du XXe siècle qui n'ont pas encore dit leur dernier mot : Samuel Beckett et Maurice Blanchot.
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