"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Tous ceux qui aiment la photographie se souviennent avec tendresse d'Yvette Troispoux, petite bonne femme pétillante et drôle, l'oeil toujours en éveil et Leica autour du cou qui prenait un malin plaisir à fixer sur la pellicule ses amis photographes au gré des vernissages. Disparue en 2007 à l'âge de 93 ans, ce livre vient consacrer pour la première fois la vie et l'oeuvre de celle que Robert Doisneau surnommait sa Photocopine. En dehors des portraits de grands photographes (Kertész, Gibson, Braissaï, Klein, Sieff.) saisis au Club des 30x40 ou dans les expositions, on découvrira ici ses images dans la tradition humaniste, réalisées à Coulommiers sa ville natale, lors de ses voyages et de ses errances sur les bords de Seine ou dans les paysages d'Ile de France : des instantanés poétiques et plein de tendresse.
Deux textes, deux points de vue croisés réalisés par Céline Gautier, titulaire d'un master 2 recherche en histoire de la photographie et lauréate de la Bourse Roederer 2010 et Aurélie Aujard, diplômée de l'Ecole du Louvre, historienne de la photographie, viennent parfaire le portrait de cette grande dame de la photographie française.
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