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Luna arrive à Naples contre son gré : son père est gravement malade. Rien, ici, ne lui a manqué. Ses repères, ses amies, son amour sont désormais à Milan. Alors pourquoi revenir ? Pourquoi être au chevet de son papà, au passé trouble, et avec lequel elle a coupé les ponts ?
Mais Napoli est là, sous ses yeux : ses ruelles animées et sales, ses habitants souriants et intrusifs, sa pizza fritta, délicieuse et tellement grasse, son Vésuve, beau et menaçant...
Est-il seulement possible de trouver la paix dans une ville si contrastée ? Et si ce retour aux sources sonnait finalement l'heure de l'apaisement ?
Direction l’Italie et plus précisément Naples pour un dépaysement total : c’est la plus grande force de ce roman.
Des les premières pages, on est embarque dans l’ambiance italienne. L’autrice donne tous les ingrédients nécessaires : le taxi, les ruelles animées, la nourriture, le Vésuve, les monuments, les caractères de personnages, les citations napolitaines…
Au delà de l’histoire assez simple du roman(seul point négatif), c’est vraiment un moment agréable de lecture, histoire de penser à autres choses le temps d’une soirée.
L’écriture est fluide, légère et très agréable : on peut noter des pointes d’humour par ci par là et la construction de l’ensemble des personnes est réussie.
Un moment d’évasion, de douceur, d’humour pour une soirée réussie !
Le grand mérite de Serena Giuliano, c'est de nous emmener en Italie.
Et plus particulièrement ici, à Naples.
Sensation d'y avoir fait un séjour en compagnie de Luna.
Luna qui fait un saut sur la côte amalfitaine et boit un amalfitano chez Maria.
Souvenirs !
Elle sait bien décrire son pays et en restituer les couleurs et les odeurs.
L'histoire en elle-même ne m'a pas transportée.
Amitié, amour, passé familial, le tout raconté avec un style plutôt banal, voire mièvre et, cette fois encore avec beaucoup de clichés.
Mais, un peu de fraîcheur et de légèreté ne fait pas de mal, et surtout, partir en Italie le temps d'un roman est toujours un plaisir.
« Luna » est un joli roman plein de bons sentiments. Il constitue un véritable hymne à la ville de Naples, son patrimoine, sa gastronomie et bien sûr ses habitants. Les différents personnages sont intéressants à découvrir. Les Napolitaines sont particulièrement lumineuses et confèrent une véritable force au roman. L’intrigue est dépourvue de grande surprise, entre histoire familiale, avec son lot de ressentiment, de souvenirs et de pardon, et histoire d’amour et d’amitié. Il se laisse très bien lire grâce à son style moderne et dynamique, qui transmet très bien au lecteur les différentes émotions ressenties par les personnages.
Un roman qui donne envie d’aller manger une pizza fritta tout en contemplant la Méditerranée et le Vésuve.
Un livre bouleversant sur la famille, les silences et les non-dits qui la font se disloquer. C’est une histoire de femmes : forte, fragile, exubérante, piégée dans une relation toxique ou dans une sexualité mal assumée mais ce sont de belles personnes solidaires et à l’écoute des autres.
Ce récit tout en générosité, grâce à une écriture délicate et poétique, nous fait découvrir de belles âmes endormies ou solitaires qui vont se rencontrer, s’enrichir au contact les unes des autres et qui vont s’ouvrir ou guérir de leurs blessures intimes.
Ce texte est empreint de bienveillance et d’humanité avec en toile de fond Naples et le Vésuve auxquels Serena Guiliano clame son amour. Il est sublimé par la bonté des personnages
Luna, jeune peintre installée à Milan se voit contrainte de retourner à Naples, sur les traces de son passé, au chevet d’un père hospitalisé, qu’elle n’a pas revu depuis que sa mère et elle se sont enfuies. Lors de son séjour, elle va renouer avec sa cousine Gina qu’elle a laissé sans nouvelles toutes ces années et avec la ville de son enfance. Elle va rencontrer de belles personnes, tout d’abord Filomena la voisine de son père et Anna la femme du voisin de chambre de ce dernier. Elle demeure en contact avec ses meilleures amies Milanaises : Fatima, architecte, femme voilée, victime du racisme ambiant, Alessandra, ingénieure mère de deux enfants, piégée dans une relation toxique et Francesca, doctoresse empathique et bienveillante.
Et si ce retour aux sources pouvait apporter l’apaisement et aider enfin à s’assumer ?
Luna est contrainte de retourner à Naples prendre soin de son père hospitalisé. Ce retour dans sa ville natale est douloureux et suscite colère et tensions. EN revenant sur les traces de son passé et en s'installant dans la magnifique villa qui domine la baie de Naples, Luna découvre aussi son père et va panser les blessures de l'enfance et refaire le lien entre son passé à Naples et son présent à Milan.
Ce roman s'ouvre sur une belle promesse, la problématique du conflit qui doit se résoudre malgré elle, mais la deuxième partie est plus attendue et j'avais deviné les "rebondissements" de fin de roman.
Une belle peinture de Naples, de ses délicieuses pizzas, de sa vie trépidante, des paysages sublimes.... Un roman agréable à lire mais sans trop de surprises.
Gros coup de coeur c'est frais c'est léger bref enthousiasmant pile ce qu'il faut en ce gris mois de janvier !!!
Le petit plus une vraie publicité pour Naples !!!
Luna habite Milan depuis sept ans et n’est plus revenue sur Naples pour y côtoyer la misère du sud de l’Italie et y recouvrer ses souvenirs. Mais l’état de son père hospitalisé l’a contrainte à y revenir.
Pendant sa convalescence à l’hôpital, Luna redécouvrira l’appartement du passé avec vue sur mer et le Vésuve habitée par la chatte Filoména, l’atmosphère et les couleurs de Naples tout en conservant à distance ses amitiés avec ses amies et son amour. Elle y reverra également sa cousine Gina, son oncle et fera la connaissance de la voisine du dessus au même prénom que la chatte. Cela lui donnera aussi l’opportunité de s’expliquer avec son père avant de repartir.
Pour son troisième livre, Serena Giuliano appuie sur un livre divertissant avec beaucoup d’échanges savoureux sur l’exagération des propos italiens, l’emballement d’une écriture comme le caractère napolitain et cette chatte aux quatre cents coups qui tourne les pages du roman.
Un livre qui anime les mots dans une écriture très accessible qui se lit d’un trait.
On y retrouve en dernières pages les proverbes napolitains très drôles et un lexique Italien-Français utilisés dans le roman.
A découvrir !
J'avais découvert Serena Giordano avec "Mamma Maria" qui m'avait enthousiasmée. J'ai apprécié "Luna", mais dans une moindre mesure. L'héroïne quitte Milan, où elle travaille, pour se rendre auprès de son père malade. On comprend dès le début qu'ils ne sont pas en bons termes, que ce père a été renié par sa famille, car il a fait des mauvais choix. Lors de ces retrouvailles forcées avec Naples et sa cousine Gina, c'est tout le sud de l'Italie, son exubérance, son dialecte, mais aussi sa cuisine (!) qui s'imposent à Luna.
Bientôt rejointe par ses meilleures amies à qui elle fait découvrir sa ville natale, elle se rend compte à quel point Naples fait partie d'elle.
L'intrigue est sympathique quoique prévisible, à Naples, on pressent que la mafia n'est jamais loin et qu'elle pourrait expliquer la brouille familiale et l'exil dans le Nord... on y retrouve également l'importance de l'amitié, de la solidarité entre les générations avec les liens que Luna tisse avec la voisine Filomena.
En somme, une lecture agréable pour un week-end pluvieux, qui donne encore et toujours l'envie de s'envoler pour Naples !
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