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Lumières blanches intermittentes : 502 ; B ; le jour où elle a dit qu'elle avait tué le chien j'ai pris la voiture

Couverture du livre « Lumières blanches intermittentes : 502 ; B ; le jour où elle a dit qu'elle avait tué le chien j'ai pris la voiture » de Giuliana Kiersz aux éditions Espaces 34
  • Date de parution :
  • Editeur : Espaces 34
  • EAN : 9782847052848
  • Série : (-)
  • Support : Papier
Résumé:

La première des trois oeuvres, 502, est une succession de scènes désertiques, dépeuplées : routes, précipices, montagnes, ou simplement le brouillard, un espace imprécis et indéfini. Le personnage principal ne sait ni d'où il vient ni où il va, mais sait qu'il s'en va.
La seconde, B, débute... Voir plus

La première des trois oeuvres, 502, est une succession de scènes désertiques, dépeuplées : routes, précipices, montagnes, ou simplement le brouillard, un espace imprécis et indéfini. Le personnage principal ne sait ni d'où il vient ni où il va, mais sait qu'il s'en va.
La seconde, B, débute également sur la route et met en scène la solitude de celui qui va d'un côté ou de l'autre. Le texte est un mouvement perpétuel où se croisent plusieurs personnages.
La dernière, Le jour où elle m'a dit qu'elle avait tué le chien j'ai pris la voiture, plus courte, est là encore focalisée sur la route, trajectoire d'un homme et de son chien vers un final délirant.
Au-delà du thème récurrent de la route, les trois textes, quoique fonctionnant de façon autonome, partagent un même langage, où s'entremêlent dramaturgie et poésie, suscitant une atmosphère étrange et pregnante.

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