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Nous vivons parfois cette expérience impossible : l'effondrement du monde, l'ouverture de l'abîme.
Faisant l'épreuve de cette dépossession, nous sommes soumis à l'extrême souffrance où tout sens semble irrémédiablement suspendu.
C'est cela que blanchot circonscrit sous le nom de, " nuit " et qu'il s'efforce de prolonger dans une pensée du neutre. prendre au sérieux cette pensée, lui demander ses raisons, tel est le dessein de ce livre. il engage indissolublement un autre enjeu : affronter l'épreuve elle-même, dont le mot de " nuit " est le signe, la transformer en question.
Peut alors commencer un travail sur une certaine époque de la pensée : ouverte par son attention à l'irréductibilité de la " nuit ", elle s'était très largement reconnue en blanchot.
Trois cercles concentriques donc, disposés autour d'une unique interrogation : la pensée peut-elle accueillir l'abîme qu'elle ne le puisse pas, peut-être faut-il le conclure, mais cette impossibilité réclame d'être établie, et non simplement présupposée.
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