"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Le puissant et impitoyable baron de Rochronde vient de mourir, son fils Agone, en froid avec son père, a déjà choisi une autre destinée. Mais le testament laissé par le baron lui réserve un avenir tout autre...
Agone doit se rendre une semaine au collège de Souffre-jour pour y suivre un enseignement bien particulier et en apprendre plus sur son père. Cependant, la découverte de la vérité sera douloureuse et parsemée d'embûches...
Armé de sa rapière et rompu aux plus redoutables arts magiques, saura-t-il trouver son salut et délivrer les Royaumes Crépusculaires qui sombrent dans la tourmente ?
Les Crépusculaires est le livre fondateur de la belle fantasy francophone.
Avec les royaumes crépusculaires, on est sur de la fantasy classique avec tout ce qu'on aime dans les classiques du genre tout en distillant de petites touches ultra moderne. Le résultat est un texte actuel, hyper sympa à lire et complètement addictif et malgré l’ambiance classique, les personnages féminins ne sont pas oubliés et sont bien construits.
Tout commence avec Agone, un jeune héritier qui refuse de prendre la suite de son père, seigneur guerrier, très peu pour lui. Au décès de son père, il découvre que celui-ci lui a fait une dernière crasse en lui imposant des études dans une école différente de celle qu’il visait. Bye l’université pour devenir instituteur/conteur et bienvenue dans un école très sombre et bizarre. Bien entendu, son arrivée dans cette école ne va pas passer inaperçu et l’idée de ne pas avoir envie d’être là passe mal. Les crépusculaires vont tourner autour du destin d’Agone, un destin sombre au possible, où rien ne lui permet de rester maitre de son destin. Comment trouver sa place ? Comment réussir à rester soi-même ? En parallèle de ces questionnements, on découvre l'art lié à la magie mais aussi des êtres de différents peuples.
Dans cette intégrale, on découvre aussi la ville d’abîme avec Maspalio, farfadet et prince des voleurs à la retraite. Enfin la retraite c’est vite dit car il doit mener une enquête et celle-ci ne sent pas bon du tout. Avec les pensionnaires de sa petite maison de retraite, tous anciens membres de son clan de truands, il va falloir faire vite. C’est drôle, bien construit, passionnant. La ville d’abyme est une sacrée trouvaille et son mode de fonctionnement est excellent.
Avec cet univers, l’auteur met la barre haut et comblera les fans et novices de fantasy.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'auteur se glisse en reporter discret au sein de sa propre famille pour en dresser un portrait d'une humanité forte et fragile
Au Rwanda, l'itinéraire d'une femme entre rêve d'idéal et souvenirs destructeurs
Participez et tentez votre chance pour gagner des livres !