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Versez dans votre shaker une bonne dose d'Odyssée (celle d'Homère par exemple), et puis une bonne dose de Fight Club. Dans votre presse-agrume, mettez une Orange Mécanique et une demi-banane. Pressez. Mélangez le tout. Rajoutez un zeste de Mission Impossible, et une larme d'Agence Tous Risques (pour les amateurs de séries télé disparues). Secouez. Vous obtiendrez un cocktail littéraire détonnant intitulé Les Enfants Sauvages.
En faisant dialoguer une Amérique pleine de contradictions et une Europe dans le doute, Boris Crack dresse le portrait d'une génération sauvage, seule contre tous, qui, une fois sortie du bois, ne peut survivre que grâce à la musique. Inspiré des années qu'il a passées à Seattle, aux Etats-Unis, avec le groupe Feral Children, son roman se déguste d'une traite. On y croise : Kurt Cobain, Bob Dylan, Alan Vega, Charles Bukowski, Barack Obama, l'inspecteur Derrick, Tintin, Milou, des chanteurs de karaoké, des ex-femmes, des martiens, des andouilles, des crevettes, des girafes et bien sûr des enfants sauvages. C'est à mourir de rire, littéralement.
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