"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Algériens de la première génération, ceux qui ont donné au pays d'accueil jeunesse, énergie, savoir-faire, ceux qui ont choisi de rester dans le pays de leur travail, de leurs amours heureuses ou malheureuses, de leur famille, reconnaissante ou ingrate, ceux qui ont observé modestie, réserve, discrétion, durant des décennies, dans l'exil, ceux-là, souvent seuls aujourd'hui, on ne les a pas vus, parce qu'ils se sont rendus invisibles, contrairement leurs enfants.
Des écrivains leur donnent une place dans la littérature on les entend, on les écoute, on s'émeut.
Des dessins donnent à voir, sur le vif, dans leurs lieux de vie, les cafés, leur maison désormais, des hommes qui vivent et qui mourront en france, leur pays, avec l'algérie comme terre imaginaire.
Les algériens au café rassemble huit nouvelles d'écrivains algériens : azouz begag, jamel-eddine bencheikh, albert bensoussan, maïssa bey, vincent colonna, mohamed kacimi, nourredine saadi, leïla sebbar.
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