80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
L'Emportement est mon troisième livre de « poèmes non-traduits », après Figures et les Gens de cendre. Il tente d'approfondir cette fascination que j'ai pour « les images sans images », pour ces ombres d'images qui m'accompagnent, ces présences déplacées, éparpillées, quasiment insensibles, que mes textes, les uns après les autres, tentent de partager. Le livre s'est construit sur son titre. Ce mot, l'emportement, comment dois-je le comprendre ? S'agit-il d'être emporté, ou de se laisser emporter, et quelle est cette « porte » qui vous laisse interdit ? D'où vient la nécessité ressentie d'un « glissement vers la/quasi-réalisable ligne,/ un en-dessous de voix,/ presque un récit » ? - André Markowicz
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