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doit-on parler de la ou des cuisines italiennes ? à bien y réfléchir, la cuisine de la botte est plurielle.
on ne savoure pas l'italie de la même façon que l'on soit attablé à turin, rome, naples, venise ou dans les îles éoliennes... tomates-mozzarella, huile d'olive, cappuccino, basilic, pâtes, pizza, osso buco, risotto, granités n'ont pas la même saveur et ne sont pas chargés de la même symbolique que l'on soit à stromboli, parme, bari ou florence...
aussi, du nord au sud, il faut arpenter le pays pour comprendre.
il faut pousser les portes des fermes, monter dans les greniers, fureter dans les arrière-boutiques, visiter les caves, pour découvrir des produits et des vins magnifiques comme le prosciutto di parma, le parmigiano-regiano, le vinaigre balsamique de modène ou le lard de colonnata...
plus tard, c'est en pénétrant dans les cuisines où s'activent les mammas et en partageant le déjeuner dominical que l'on comprend que le vrai goût de l'italie est avant tout celui du partage.
à table en famille ou dans la rue à l'heure de la passeggiata, les nourritures terrestres accompagnent tous les instants, dans ce pays où les plaisirs portent le nom de dolce vita.
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