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Le traité Avot et ses commentaires

Couverture du livre « Le traité Avot et ses commentaires » de Anonyme aux éditions Verdier
  • Date de parution :
  • Editeur : Verdier
  • EAN : 9782864328087
  • Série : (-)
  • Support : Papier
  • Nombre de pages : 192
  • Collection : (-)
  • Genre : Religion
  • Thème : Judaïsme
  • Prix littéraire(s) : (-)
Résumé:

Dans le Talmud, le traité Avot, traité des « pères » ou des « principes », est le dernier de l'ordre Neziqin (« Des dommages »), et le quatrième des six que compte la Michna.
Il ne s'agit pas d'un traité comme les autres :
Il n'énonce pas des lois, mais les sentences des premiers maîtres de la... Voir plus

Dans le Talmud, le traité Avot, traité des « pères » ou des « principes », est le dernier de l'ordre Neziqin (« Des dommages »), et le quatrième des six que compte la Michna.
Il ne s'agit pas d'un traité comme les autres :
Il n'énonce pas des lois, mais les sentences des premiers maîtres de la tradition juive orale, depuis celles des hommes du Grand Synode, héritiers des prophètes, jusqu'à celles des maîtres de la Michna.
Sa teneur n'est pas normative, sa portée n'est pas législatrice ni régulatrice mais réformatrice. Avot n'est pas un code, c'est un texte où l'on trouve moins des injonctions que des exhortations. Aucune n'induit à l'obéissance ; toutes invitent à la prudence ; ce sont toutes des sentences qui, pour n'être pas vaines, obligent à la réflexion, au lieu qu'il suffit aux lois, pour n'être pas vaines, d'obliger à l'action.
Dépassement du légalisme, donc, par la hassidut, par la morale, non seulement naturelle mais, plus encore peut-être, intime, invisible, inappréciable.
Notre texte original est celui du manuscrit Kaufmann qui représente, de l'avis des spécialistes, la leçon la plus ancienne. On y joint les variantes significatives des autres manuscrits et de l'édition princeps, reproduite dans l'édition Vilna. Pour les commentaires, nous avons choisi de traduire intégralement les quatre plus consultés, ceux de Rachi (et pseudo-Rachi), Maïmonide, Ovadia di Bertinoro (XVe siècle) et Israël Lipschitz (XIXe siècle). Les deux premiers ont été partiellement traduits par Éric Smilévitch.

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