"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
" Les ors tournants du Cymbelstern sont invisibles de la tribune.
Le meuble du positif de dos, comme un mur, fermant l'espace, accentue encore l'impression de solitude. Seul contact avec le monde extérieur, seul lien avec cette liturgie dont il doit souligner tous les moments, par son chant ou par son silence, le miroir: l'organiste ne voit le monde qu'à l'envers. Et le monde qui l'écoute, ne le voit pas... " Jean Ferrard et André Janssens invitent le lecteur dans l'intimité de l'orgue, ils nous l'ouvrent avec pudeur et respect, en silence.
L'un dit, l'autre montre les sensations et les sentiments qui s'éveillent auprès de " la plus sensuelle des machines ". Ils dénouent un peu du lien qui unit l'organiste et son instrument pour nous l'offrir.
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