Vous aimez les polars ? Alors venez par ici : choisissez, lisez et chroniquez !
Lorsque le procureur Kramer se réveille à l'hôpital, il ne lui reste que quelques bribes de souvenirs : la terrasse d'un café, des visages souriants, la fête des vendanges de Neuchâtel, puis l'explosion. Ensuite, le trou noir.
Deux flics, Mollier et Jemsen se lancent sur les traces du Vénitien, un tueur sans pitié qui vient de faire parler de lui en abattant un policier.
Vous aimez les polars ? Alors venez par ici : choisissez, lisez et chroniquez !
Premier volet avec le procureur Norbert Jemsen, plusieurs enquêtes se mêle, un polar efficace, sa se dévore d’une traite. Les personnages sont bien construits, attachants, des descriptions détaillés. Un bon final. Si vous êtes sensibles ne le lisez pas.
"Visqueux, le verre en fusion coula lentement au fond de la gorge ouverte en entonnoir. La silice fondue à mille cinq-cent degrés brûla tout sur son passage. Les lèvres, les dents, la langue, le palais, la trachée. Les chairs grésillèrent. Une odeur de viande carbonisée s’installa. La fumée émanait de l’orifice buccal comme du cratère d’un volcan humain."
"En fan de la saga Star Wars , il eut la sensation de voir s’avancer vers lui un clone de Dark Vador.Avec toute la stature ,le mystère et l’impassibilité qui caractérisaient le personnage . A cela près que l’homme en noir ne tenait pas de sabre laser dans sa main droite, mais une petite tronçonneuse."
Que s'est il passé dans le canton de Neuchâtel ?
D'un côté, le procureur Jemson se réveille sur un lit d'hôpital, sa mémoire s'est partiellement envolée, il a subit un choc terrible lors de l'explosion d'une bombe dans un café placé des halles. Sa greffière reste à son chevet, ce qui l'interroge grandement sur leur niveau de relation. Pourra-t-il retrouver la mémoire des affaires sur lesquelles il enquêtait ?
Dans un bar-hôtel louche, les prostituées doivent obéir sans discuter au patron et à son glaçant acolyte. Comment Alba, l'une d'entre elles, peut-elle se sortir de se guêpier ?
Un terrible meurtrier s'en prend à ses victimes de façon particulièrement violente. Il est dénommé Le vénitien par les enquêteurs qui s'intéressent à lui. L'un d'être eux est-il capable de savoir qui il est et de l'arrêter ?
Des chapitres courts, des personnages qui se croisent, se découvrent, se dévoilent. Un métier et une région bien connus de l'auteur qui est lui-même procureur du canton de Neuchâtel. Cela donne un roman qui court à un rythme soutenu, des personnages que l'on voudrait parfois mieux connaître, mais au final un roman qui se lit tout seul sans jamais avoir envie de le poser.
chronique en ligne sur le blog Domi C Lire https://domiclire.wordpress.com/2022/01/09/le-miroir-des-ames-nicolas-feuz/
Le roman démarre sur une scène de torture à partir de là, l'auteur ne nous laissera pas un moment de répit. Un serial killer passe à l'action contre la police, sur quoi s'ajoute un attentat, les 2 choses sont elles liées ?
Des chapitres courts, pas mal de personnages, des fausses pistes .... tout ce qui fait un bon polar. J'avoue que pendant la lecture j'ai vraiment été happée et avais envie d'avancer pour comprendre. Mais aujourd'hui au moment de faire ma chronique j'ai eu du mal à retrouver ce qui s'était passé.
Pour conclure un bon moment de lecture mais dont il ne reste pas grand chose rapidement.
Un thriller qui se lit rapidement car haletant, le lecteur tourne les pages à un rythme certain et veut connaître le fin mot de l'histoire.
Je ne vous cache pas que certaines scènes sont au moins sanglantes pour ne pas dire barbares mais passé ce moment difficile, l'histoire reste malgré tout alléchante.
Ce polar est une tuerie littéraire !
Préparez vous à une escapade suisse infernale ! Vous serez prévenus, vos nerfs et votre curiosité seront mis à rude épreuve. De surprises en revirements, vous ne cesserez de pousser des Oh et des Ah tout au long de votre lecture.
Tout commence par un attentat un peu flou, sans revendication, ayant pour cible le procureur Jemsen. Ce dernier en est une des nombreuses victimes, ayant pour effet de lui faire perdre la mémoire. Grace à sa greffière Flavie, ils tenteront tout pour élucider cette affaire, quitte à remuer le passé. Et c’est autour de cette scène atroce que vont graviter des personnages pour le moins obscurs, dans des ambiances sordides même inhumaines. Sans oublier celui recherché par tous, le tueur qu’on appelle le vénitien, qui semble avoir une sacrée dent contre la police… Et ce qui le rend d’autant plus mystérieux, c’est sa marque de fabrique : étouffer ses victimes en coulant du verre de Murano dans leurs gorges. Mais ce sévice, qu’il leur inflige, est le bouquet final, que d’autres précèdent et horrifient le lecteur. Il rôde, toujours, caché sous son costume morbide. Mais qui est qui finalement ?
Je ne puis vous en dire plus, car résumer cette histoire serait la spoiler, il ne vous reste donc plus qu’à la découvrir par vous-même. Je vous garantie un excellent moment de lecture.
J’ai beaucoup beaucoup beaucoup aimé, tout ! Histoire. Écriture. Intrigue. Rythme. Absolument Tout. Ce polar a tous les ingrédients requis pour jouer avec nos nerfs !
Nicolas Feuz, je me souviens de notre rencontre aux Editions Slatkine et Cie, que je remercie. Jai passé un formidable moment partagé avec un immense auteur. « Le miroir des âmes » n’est pas un coup de coeur mais vrai grand coup de « taser » !
https://littelecture.wordpress.com/2020/08/20/le-miroir-des-ames-de-nicolas-feuz/
J'ai pu retrouver la plume de Nicolas Feuz dans le cadre des explorateurs du polar du site Lecteurs.com. Ca commence fort, c'est le moins que l'on puisse dire et surtout ça se lit comme on suit une série TV. Dans Le miroir des âmes, préparez-vous à une course à 100 à l'heure où le dénouement risque de vous marquer quelques temps.
Nicolas Feuz n'a pas son pareil pour obtenir l'intérêt du lecteur dès les premières pages. C'est sanglant, terrifiant et pourtant on en redemande à peine le premier chapitre entamé.
Et voilà que l'on suit deux intrigues qui finiront par se rejoindre au fil de l'histoire. La première concerne la traque d'un serial killer surnommé Le vénitien tandis que la deuxième intrigue concerne un procureur victime d'un attentat alors qu'il allait pour rejoindre un mystérieux inconnu.
Il y a donc les éléments nécessaires pour donner du rythme à l'intrigue et cela dès les premières pages. Et pour le coup ça va vite. Entre les chapitres courts, les points de vue des différents protagonistes et les retournements de situation. Pas le temps de se poser vraiment beaucoup de questions tant l'histoire se déroule comme un fil rouge et vous prend au cœur de l'intrigue.
J'ai vraiment eu la sensation de voir défiler un épisode sous mes yeux et d'en savourer chaque seconde.
Comme dans Horrora Borealis, l'auteur nous promène ici et là et nous convaincs par la façon dont il a d'amener les différents éléments qui constituent l'histoires, de les imbriquer et de nous apporter quelque chose de cohérent et savoureux pour la lectrice que je suis.
C'est une histoire qui tient en peu de pages et pourtant elle parvient à vous tenir en haleine, suffisamment pour garder l'attention du lecteur jusqu'aux dernières lignes.
Sans vraiment sortir de l'originalité, l'auteur utilise les codes déjà bien rodés du thriller mais parvient à apporter sa touche personnelle à son intrigue. Et je me rends compte, qu'ainsi j'ai tendance à être plus sensible à sa plume et à ce qu'il veut nous raconter à travers ses mots.
Concernant les personnages, ils sont intrigants. Je ne les ai pas particulièrement pris en affection et pourtant il faut avouer qu'il y a un p'tit quelque chose qui se dégage d'eux. Une sorte d'aura magnétique, qui même si je ne les apprécie pas plus que ça, je n'ai pu m'empêcher de les trouver fascinants. Pas de personnages mis de côté ici. Chacun à son rôle à jouer, et chacun contribue à faire avancer l'intrigue.
Concernant le dénouement, même si je me suis doutée de certaines choses je me suis également fourvoyée sur d'autres. Ca parait évident quand on s'y attarde mais ça reste un plaisir à lire tout de même. Le fait que l'intrigue tienne sur un peu moins de 300 pages laisse peu de place à l'ennui de s'immiscer. Aucune raison de trouver un temps mort dans ce livre.
En bref,
Encore une belle découverte de Nicolas Feuz. Même si ma préférence reste pour Horrora Borealis, l'auteur a su nous transmettre une belle intrigue. Sanglante, certes, mais qui est ingénieusement bien construite. Vous voilà prise dans une course contre la montre où meurtre et vérité vont se côtoyer de près. Un final explosif vous attend, alors n'attendez pas pour le découvrir.
Et entre vous et moi, Nicolas Feuz est un auteur suisse à suivre de près!
L’avis de Sandrine :
L'action se situe en Suisse à Neuchâtel de nos jours .
Les premières pages nous plongent au cœur d'une scène de crime, qui mettent en scène le tueur qui se fait appeler Le Vénitien.
Les chapitres extrêmement courts donnent un rythme soutenu au roman.
Suite à un attentat sur Neuchâtel, le procureur Jemsen se fait interroger par Mollier et Kramer, faisant partie de la police . Il est devenu amnésique .
Les femmes Alba, travaillant dans un salon de massage louche, et Flavie, la greffière du proc, les aident dans leur quête de vérité .
Le tueur ne leur laisse pas de répit.
Les deux enquêtes se croisent : l'attentat et la vague de crimes s'intensifiant qui secoue la ville . Les scènes alternent entre le jour de l'attentat et le jour de l'enquête.
Nous passons également d'un personnage à l'autre, décrits succinctement aussi bien psychologiquement que physiquement .
Qui est donc Florent, disparu de la circulation ?
Amis lecteurs, j’ai été embarquée dans cette enquête policière dès les toutes premières pages.
Trahison, trafics, faux-semblants, romance, crime, hémoglobine, violence, vengeance, sont autant de thèmes forts de cet ouvrage .
Le suspense va crescendo. Il n'y a aucun temps mort .
Scènes de crime à vous couper le souffle, on s'y croirait presque .
Ambiance glauque et sombre .
Qui se cache donc sous l'identité du Vénitien ?
Les personnages se croisent au cœur de ces enquêtes qui s'entremêlent .
Les pistent divergent, se croisent pour s'éloigner .
Tout semble finalement s'imbriquer .
Quel est le mobile du ou des tueurs ? Qui a tué les policiers ? Ce sont autant de questions qui restent en suspens.
Tout est dévoilé dans les dernières pages.
Qui est qui ? A vous de deviner …
Le roman se termine en apothéose .
Je vous souhaite une agréable lecture, et je vous invite à découvrir sans plus attendre cet écrivain au talent fou. Une exploratrice qui a littéralement dévoré les 326 pages !
Si vous deviez le conseiller ?
Vous aimez le suspense, les enquêtes, l'effroi , les policiers ? Alors ce polar est pour vous ! Vous ne pourrez pas le l^cher .
© Sandrine Gouaillardou
Note sur 10 : 08/10
Suisse, Neuchâtel, un attentat sur la place de la ville. Le procureur se trouvait sur la place à cet instant. Il se réveille quelques jours plus tard à l'hôpital, amnésique. La police enquête et n'exclut pas que le procureur était la cible, que c'est peut-être le Vénitien, un tueur en série qui fait de ses meurtres une oeuvre artistique douteuse.J'avoue avoir été désarçonné par le fait que ce roman se déroule en Suisse, dans des coins qui jusqu'alors nous ne pouvions imaginer qu'un attentat s'y déroule. Un détail très perturbant même, le nom de l'équipe de football locale, les Xamax. Dépassé ce premier stade, nous nous retrouvons aux côtés du procureur qui essaye au quotidien de retracer son parcours, tout en suivant les traces d'une prostituée liée à un réseau, tout en se plaçant du côté des enquêteurs. Il faut reconnaître qu'un autre détail perturbant sont les termes des organisations judiciaires, alors que nous avons l'habitude grâce aux polars ou aux séries télévisées aux dénominations françaises ou américaines des différents services de police.L'enquête m'aura paru un peu lente, comme si nous avions pris un peu trop de recul, et l'immersion dans le roman aux côtés du procureur ne s'est pas faite. Entre deux lectures, il n'y avait pas cette impatience de retrouver des personnages attachants auxquels nous nous identifions.Le dénouement est même assez décevant non pas parce qu'il n'est pas cohérent, mais parce qu'il m'a semblé un peu bâclé. Alors que l'écriture est fluide et que le roman se lit avec une grande aisance.En somme, ce roman manquait d'énergie.Je remercie Slatkine et Lecteurs.com pour ce partenariat au Cercle Livresque.
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