80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Avant Batouala, roman couronné par le Prix Goncourt en 1921, René Maran a publié des recueils de poésie et c'est d'abord comme poète qu'il entendait occuper sa place dans le champ littéraire des premières années du XXe siècle. En revenant à la poésie avec la publication, en 1958, du recueil Le Livre du souvenir, René Maran rappelle l'importance que la poésie a occupé dans son projet littéraire. Dans cet ouvrage qui prend la forme d'une anthologie personnelle, Maran a rassemblé des poèmes de jeunesse, évoquant tour à tour ses premiers émois amoureux, ses études à Bordeaux, son affinité avec la sagesse stoïcienne. Ces poèmes ici recueillis, donnent à entendre une voix gagnée par la mélancolie, tentée par la solitude, qui témoigne d'une attention au monde et d'une exigence sans faille, celles d'un « de ces enfants dont la pensée évoque de grands ciels lointains ».
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