80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Raconter des histoires : ce devrait être la fonction première du roman.
Cela longtemps l'a été, de Stendhal à Tolstoï, de Dickens à Melville, de Stevenson à Simenon.
Aujourd'hui, en France du moins, les romanciers ne racontent plus : ils parlent d'eux-mêmes, ce qui est tout différent. Ils ont perdu l'art de se créer des doubles et de se projeter dans des identités de rechange.
Ils expérimentent, ils ressassent, ils n'ont plus cette liberté, cette gaieté de se transformer en d'autres qu'eux-mêmes.
L'Art de raconter est tout le contraire d'un traité sur le roman : c'est une défense et illustration, à travers de nombreux exemples français et étrangers, du roman comme plaisir, comme jubilation, comme machine à rêver et à entraîner le lecteur dans les émois et les délices de l'aventure.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Selma ne vit que pour les chevaux et c’est à travers eux qu’elle traverse cette période violente si difficile à comprendre pour une adolescente...
"Osons faire des choses qui sont trop grandes pour nous", suggère Maud Bénézit, dessinatrice et co-scénariste de l'album
"L’Antiquité appartient à notre imaginaire", explique la romancière primée cette année