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Aborder la thématique « adaptation des Subsahariens en mobilité estudiantine » semble être une niche dans la recherche académique, un terrain qui reste encore vierge. En effet, loin d'être le fruit du hasard, notre ouvrage semble être le premier qui explique en profondeur les déterminants et les freins de l'adaptation des Subsahariens en mobilité estudiantine en Tunisie. Ce qui prouve son originalité et son grand intérêt. D'ailleurs, nous avons constaté que pour la majorité des sujets en question, la négrophobie est qualifiée comme le handicap majeur à leur adaptation. Curieusement, c'est la loi du silence qui prime sur ce sujet. « En Tunisie, la question de la couleur de peau est restée un véritable tabou qui renvoie à l'histoire esclavagiste » (Pouessel, 2012). Conséquemment, comme la couleur de peau n'a rien à voir avec le fond de l'être humain, comme noir ou blanc, nous sommes tous des êtres humains, il est temps d'évoquer ce problème et de crier à haute voix : Stop à la négrophobie ! Les Subsahariens sont des êtres humains, comme toi et moi, et personne n'a le droit de les insulter gratuitement à cause d'une différence de couleur de peau.
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