"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Je crois que quelqu'un est en train d'agir comme s'il se prenait pour Dieu...
Un appel au secours au milieu de la nuit Une vallée coupée du monde Une abbaye pleine de secrets Une forêt mystérieuse Une série de meurtres épouvantables Une population terrifiée qui veut se faire justice Un corbeau qui accuse Une communauté au bord du chaos Une nouvelle enquête de Martin Servaz Avec La Vallée, Martin Servaz, le flic emblématique de Bernard Minier, fait un retour tonitruant !
Bernard Lehut, RTL D'une efficacité redoutable. Addictif !
François Busnel, La Grande Librairie Un suspense et un style parfaitement maîtrisés, des personnages touchants, et une fois encore une putain d'histoire.
Fabrice Drouzy, Libération Tout en menant de main de maître son histoire, Minier poursuit une réflexion sur le mal qui nous concerne tous.
Bruno Corty, Le Figaro littéraire un roman brillant !
Olivier Bureau, Le Parisien On le dévore pour l'efficacité de son scénario et pour la sincérité avec laquelle il dénonce l'hyper-moralisation d'une société moderne qui conduit au manichéisme.
Jean-Rémi Barland, La Provence Magnifiquement mené vers une fin spectaculaire.
Stéphanie Janicot, Notre Temps En matière de thriller, La Vallée est un modèle du genre. Impossible à lâcher, diablement addictif, et furieusement humain.
Yvan, EmOtionS - blog littéraire Le nouveau thriller de Bernard Minier
Le rythme est soutenu, une vallée coupée du monde, des habitants apeurés, tout y est si ce n'est une reprise trop présente des "histoires passées". Heureuse de retrouver Martin Servaz mais l'invraisemblable histoire de retrouver son ex disparue 8 huit ans plus tôt m'a aidé à découvrir bien vite la fin de l'histoire.
Dommage
Un bon polar de Bernard Minier où nous retrouvons Martin Servaz.
Marianne a été enlevée il y a 8 ans et voilà qu'elle l'appelle à l'aide ; elle s'est enfuie, elle est dans les Pyrénées mais ne veut pas qu'il prévienne la police.
Alors, il accourt bien sûr.
Ce psychopathe de Julian Hirtmann est-il derrière tout cela alors qu'il est bien enfermé, bouclé derrière les verrous ? Il faudra attendre la dernière page pour le savoir.
Encore un fois, une enquête menée tambour battant. Des femmes tentatrices, des meurtres bien atroces, des vilains très méchants, des villageois exaspérés...
520 pages qui se laissent dévorer.
La suite de l’épopée Martin Servaz. L’enquête se déroule dans un pseudo huis-clos, enfermé au fond de la vallée. Et la pression monte crescendo…
Retrouver la plume de Bernard Minier est toujours un plaisir, que je savoure pleinement, même si j’ai toujours un décalage d’une année par rapport à la sortie de ses romans. Sixième tome consacré à Martin Servaz, La Vallée nous prouve que l’imagination de l’auteur concernant son personnage fétiche est loin de s’être tarie. Son nouvel opus, La Chasse qui vient de paraitre chez XO Editions en est une nouvelle preuve. Inutile de commencer ce roman sans avoir lu les précédents tant les références au passé de Martin sont nombreuses. Voici la série dans l’ordre : Glacé – Le Cercle – N’éteins pas la lumière – Nuit – Soeurs – La Vallée – La Chasse.
Le personnage de Martin Servaz nous revient fidèle à lui-même et également à ceux qui ont partagé sa vie, comme en témoigne le retour inattendu de Marianne dans l’existence du capitaine de police. Celle qui a tant compté pour lui, mère de son fils Gustav qu’il élève seul, était portée disparue jusqu’à un fameux coup de fil en pleine nuit où la voix de Marianne le réveille et le supplie de lui venir en aide. Le voilà lancé sur ses traces, au cœur de la vallée d’Aiguesvives, une petite ville des Pyrénées, perdue au milieu des forêts. Sur place, nulle trace de Marianne, mais Servaz découvre un monastère dans lequel il est accueilli pour la nuit. Il apprend qu’un crime épouvantable a été commis non loin de là, il se rend sur place. La disparition de Marianne et le meurtre horrible d’un jeune homme au Pic du Gendarme, semblent liés. Le hic est que Martin vient d’être suspendu suite à l’affaire Erik Lang (voir Soeurs) et n’a plus aucun droit d’intervenir sur une enquête : pour se tenir au courant des faits, il devra suivre sans piper mot sa collègue Irène Ziegler.
Une accroche telle que celle-ci ne pouvait que m’attirer : une vallée coupée du monde, une abbaye pleine de secrets au cœur d’une forêt mystérieuse, une série de meurtres épouvantables… Dans ce cadre (idyllique) de montagne se répand un concentré de noirceur humaine: tout d’abord ces meurtres mis en scène de façon terrifiante et cruelle, puis le comportement d’une population, « confinée » dans leur petite ville en raison d’un éboulement qui coupe tout accès au reste de la vallée. Rapidement la tension monte, les esprits s’échauffent et se laissent envahir par la révolte, il en faudrait de peu pour qu’une partie des habitants prônent l’anarchie… Le climat anxiogène est très présent, servi par l’écriture rythmée de Bernard Minier qui dévoile une intrigue au final inattendu. Avec un soin particulier l’auteur a réuni les ingrédients permettant de démontrer avec véracité les travers de notre société actuelle : le malaise des forces de police (manque de moyens, manque de respect…), les dangers des réseaux sociaux, une jeunesse de plus en plus violente… Une ambiance générale faite de suspicion, d’injustice et d’irrespect, y compris au fin fond d’une vallée des Pyrénées… Il suffit d’une étincelle…
J’ai eu l’impression que le constat social auquel se livre Bernard Minier dans ce roman prend le pas sur l’intrigue elle-même: un Martin Servaz réduit à l’état d’assistant de la franche Ziegler, revenant une nouvelle fois sur ses pas en volant au secours de Marianne (Glacé), un petit air de déjà vu dans tout cela et pourtant j’y retourne! Car les « horreurs » inventées par l’auteur me plaisent indubitablement !!! Et vous, l’avez-vous lu ? Qu’en pensez-vous ?
Je connaissais Bernard Minier uniquement après avoir regardé Glacé à la TV il y a quelques années. J'avais adoré le téléfilm, mais je n'avais jamais eu l'opportunité de lire cet auteur.
Erreur rectifiée !
Je me suis laissée immédiatement embarquer dans une enquête rythmée, sans temps morts, où chaque chapitre amène son lot de surprise, et de nouveaux questionnements.
Je regrette de ne pas les avoir lu dans l'ordre, car il y a certains passages qui reprennent des événements passés, et je pense que ça aurait pu me permettre une meilleure compréhension.
Mais je ne peux m'en prendre qu'à moi même, on m'avait prévenue
Après M, le bord de l'abîme, décevant détour à Hong-Kong, Bernard Minier, avec La Vallée, retrouve son personnage phare, Martin Servaz, et son décor favori, les Pyrénées. L'histoire se situe dans le prolongement des trois œuvres "montagnardes" de l'auteur, au cœur d'une vallée isolée, coupée du monde par un éboulement qui en bloque la seule voie d'accès. Martin, suspendu et en attente de son conseil de discipline, s'y trouve, suite à un coup de fil surprenant de Marianne, son ancienne amoureuse, disparue depuis huit ans. Serait-elle donc vivante ? Aurait-elle échappé à ses geôliers ?
Dans cet univers clos, cerné par les sapins, surplombé par une étrange abbaye, les meurtres sanglants se succèdent, semant la panique et la colère parmi la population. Martin plonge de nouveau dans les ténèbres, dans la folie la plus sombre, où il affronte son propre passé et les démons qui, dans l'ombre, règnent sur la vallée.Une inquiétante psychiatre, un professeur de français angoissé, une maire énergique, des moines reclus, des employés d'une carrière, le patron vindicatif d'une scierie tournent autour des enquêteurs, dont Irène Ziegler, en une sarabande aux mille visages. L'assassin est-il parmi eux ? Quel masque cache l'âme noire ?
Bernard Miniez mène son intrigue avec son efficacité coutumière, même s'il semble quelque peu négliger son style, recourant régulièrement à des formules toute faites. Ce thriller efficace, doté d'un dénouement terrifiant, ne dépareille pas dans la saga Servaz... même si l'on peut regretter que Julian Hirtmann, le tueur en série, double maléfique du policier, soit toujours prisonnier au fin fond de l'Autriche. Peut-être s'évadera-t-il dans le prochain épisode...
Un roman parmi les meilleurs de Minier, dans la veine de Glacé ou Le Cercle. On retrouve l'atmosphère très particulière des romans "pyrénéens" de Bernard Minier et on savoure son plaisir en se laissant porter par ces intrigues à la noirceur étrange. Nous voilà plongés dans une vallée sombre, coupée du monde par un éboulement. Dans cet univers de huis-clos angoissant, des meurtres épouvantables vont amener le commissaire Martin Servaz, personnage fétiche des romans de Minier, à enquêter avec son tact et sa perspicacité habituels, tout en se trouvant impliqué personnellement à des événements qui vont le confronter à son passé et à ses fantômes.
Toujours bien menée, bien construite, l'intrigue foisonne de rebondissements, de faussses pistes, à travers des personnages troublants, des situations complexes, des sites étranges : une abbaye perdue au milieu des sapins, un hôtel de montagne où quelques touristes gravitent en attendant que la voie se libère. Bien sûr, il vaut mieux avoir lu les romans précédents car les références aux intrigues passées et à l'histoire de Servaz sont nombreuses. On retrouve entre autres l'ombre du tueur en série Julian Hirtmann. Mais on ne pourra en dire plus au risque de "spoiler"...
Autant j'avais aimé "M, le bord de l'abime", autant cet opus-là m'a laissée perplexe.
Certes l'imaginaire de Bernard Minier est toujours aussi fertile et les meurtres sont surprenants, mais il y a comme un goût de déjà vu dans le déroulement de l'enquête et les interactions entre les personnages. Et puis on a droit à des discours un peu convenus sur notre société en perdition et moulte renvois aux ouvrages précédents mettant en scène son héros, Martin Servaz, héros qui se sort toujours des situations les plus périlleuses.
Le rythme est bon, le suspens est là, le décor - cette vallée coupée du monde- est prenant, mais j'ai trouvé l'histoire un peu tirée par les cheveux et j'ai vu venir de loin le personnage finalement à l'origine de toute cette machination.
Un peu déçue donc.
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