"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Londres, cimetière de Hampstead, juin 1957... Lors de l'enterrement de la célèbre comédienne britannique, Helena Thornhill, notamment connue pour ses interprétations de textes de Shakespeare, Tom et Bert, deux journalistes de la BBC, captent sur leur magnétophone un étrange message venu d'outre-tombe. La voix de Ronald Blank, comédien décédé en 1951, énonce « C'est Ronald Blank qui vous parle, la mort de cette créature est le plus beau jour de ma vie. D'ailleurs, c'est moi qui l'ai tuée... » Scotland Yard s'en mêle, et un certain Steve Ogilvy, neveu de l'acteur, est vite soupçonné. Lorsque Peabody apprend que Blank fut le premier mari d'Helena Thornhill, l'enquête démarre et ne tarde pas à prendre d'étranges couleurs surnaturelles... Le « smog » londonien est toujours aussi présent dans ce troisième tome d' " Outsiders" qui nous entraîne une fois de plus et avec un malicieux plaisir vers une ambiance « fifties » et fantastique. Un polar dans la grande tradition, où le réalisme du trait se mêle parfaitement aux fantasmagories narratives.
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