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Pendant deux cours successifs au Collège de France, qui se révèleront être ses derniers par la fatalité d'un accident, Roland Barthes s'interroge sur les conditions d'écriture du roman, avec pour modèles d'abord le haïku japonais, puis La Recherche du temps perdu de Proust (mais de nombreux autres auteurs sont aussi évoqués).
« Si vous le voulez bien, nous allons considérer le Cours qui commence comme un film ou comme un livre, bref comme une histoire. » Ces deux cours sur la préparation du roman sont un pan important de l'ouvre de Barthes. Autrefois publiés sous la forme de notes retrouvées, ils paraissent ici sous la forme d'une transcription à partir des enregistrements. On retrouve ainsi la magie de la parole de Barthes, sa générosité, sa puissance de clarification sans jamais abandonner l'exigence intellectuelle, son goût des digressions, son art d'élever la singularité vers le général, selon son vou et fantasme d'une « mathesis singularis », une science du singulier.
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