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Notre théorie (théorie anti-intentionnaliste de la traduction) est fondée sur ce principe de base selon lequel dans la pratique traduisante, quelle que soit l'intention du traducteur, le texte cible fait sens indépendamment de lui. En d'autres termes, le but de la traduction dans la pratique traduisante n'a pas de sens. D'autre part, c'est la lecture du lecteur qui constitue le sens du texte cible et non l'intention du traducteur. Le lecteur participe activement à l'acte de compréhension, mais non pas dans le but d'avoir accès à une quelconque intention du traducteur. Dans la théorie anti-intentionnaliste de la traduction nous avançons la thèse de « la mort du traducteur ».
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