80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
"Figurez-vous un mari dont la femme, une suicidée qui s'est jetée par la fenêtre il y a quelques heures, gît devant lui sur une table. Il est bouleversé et n'a pas encore eu le temps de rassembler ses pensées. Il marche de pièce en pièce et tente de donner un sens à ce qui vient de se produire." Dostoïevski lui-même définit ainsi ce conte dont la violence imprécatoire est emblématique de son oeuvre. Les interrogations et les tergiversations du mari, ancien officier congédié de l'armée, usurier hypocondriaque, retrouvent ici - grâce à la nouvelle traduction d'André Markowicz - une force peu commune.
Le texte de La Douce est suivi de versions préparatoires et de variantes - véritables invites à pénétrer dans la "fabrique de littérature" dostoïevskienne.
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