Des romans, livres de recettes et BD pour se régaler en famille !
C'est l'histoire de Jo', jeune interne en pédiatrie à la personnalité fantasque, à qui tout sourit.
C'est l'histoire de No', un petit garçon de sept ans attachant et joueur, qui est atteint d'un mal incurable et ne comprend pas pourquoi sa maman ne vient pas plus souvent le voir à l'hôpital.
C'est l'histoire de Maria, une mère secrète, qui disparaît à l'autre bout du monde au lieu de rester au chevet de son fils.
Un matin, dans la chambre de l'enfant, survient un drame qui lie à jamais le destin de ces trois êtres.
Jo' devra tout quitter pour partir sur les traces de Maria et percer ses mystères.
Inspiré par le choc ressenti lors de la disparition de l'un de ses jeunes patients, l'auteur livre une quête initiatique et poétique, semée de recoins obscurs qui s'illuminent. Un magnifique troisième roman, porté par des personnages profondément humains.
« Docteur et conteur [...], Baptiste Beaulieu sait raconter des histoires, faire rire et pleurer, conjuguant la trivialité et le merveilleux, la farce et le lyrisme. » Astrid de Larminat, Le Figaro littéraire Médecin généraliste de trente ans, Baptiste Beaulieu est l'auteur d'un premier livre best-seller, Alors voilà : les 1001 vies des Urgences (Fayard 2013 ; Livre de poche 2015), qui a reçu le prix France Culture « Lire dans le Noir » et a été traduit en quatorze langues. Son roman Alors vous ne serez plus jamais triste (Fayard 2015 ; Livre de poche 2016) a reçu le Prix Méditerranée des lycéens 2016. Son blog Alors Voilà, pour réconcilier soignants et soignés, compte plus de six millions de visiteurs.
Jo est un brillant interne. La vie lui sourit. Il vit en couple avec Marion qu'il adore et dont il est fou amoureux. Sa famille est aimante et fière de sa carrière en construction.
Un jour, il rencontre No hospitalisé dans son service de pédiatrie, un petit garçon de 7 ans, et sa mère Maria. De cette rencontre, sa vie va basculer.
Tout au long du récit, j'ai senti le vécu derrière les mots. Des morts forts, émouvants, poignants. Des mots qui retournent et font réfléchir. Des mots doux, tristes et déchirants. Des mots qui font un roman fort et plein d'humanité. La maladie, la mort, l'enfance, le rêve, les regrets, l'espoir sont ce que je retiendrai de ce roman.
Une belle plume simple et fluide que j'ai aimé retrouver. Un style poétique qui m'a encore une fois bien plu. Ce roman se lit rapidement.
Petit bémol, cette annonce de la déchirure est faite dès le début du récit. Cette déchirure qui nous est rappelée tout au long de l'histoire, page après page et pour laquelle on a l'explication tout à la fin. Cette répétition m'a un peu ennuyé. Je me suis souvent demandée si je n'avais pas raté quelque chose. Je suis revenue régulièrement en arrière pour relire certains passages.
J'ai passé un bon moment de lecture.
Très beau roman qui nous rappelle que notre perspective est différente de celle de notre voisin. Une histoire terriblement triste écrite de façons poétique sans mélodrame ni mièvrerie et toujours une touche d’humour qui nous fait passer du rire aux larmes. L’écriture est belle, fouillée sans snobisme.
Comment une mère peut-elle ne pas aimer suffisamment son enfant pour le laisser seul, très malade, dans sa chambre d'hôpital ? Ou peut-être est-ce l'inverse ?
Ne jugeons-nous pas trop vite, ne tirons-nous pas trop rapidement des conclusions sur les réactions des autres, selon les éléments que nous avons, selon notre prisme, et parfois (souvent ?) en omettant une partie des éléments qui nous feraient envisager les comportements des autres différemment...
Un.merveilleux livre qui se lit simplement,très touchant. Au fil de la lecture on s'interroge et a la fin on est ému.
La ballade de l'enfant gris , c'est l'histoire émouvante d'un jeune interne qui se prend d'affection pour un enfant condamné par une leucémie. Tous les deux vont mijoter des blagues pendables dans le service au détriment d'une surveillante bien plus humaine qu'elle ne veut le montrer. Il faut dire que l'enfant est très seul, sa maman brille par son absence, ce que le personnel du service ne comprend ni n'accepte. Quand l'inévitable arrive, Jo le jeune interne completement bouleversé et révolté, laisse tout tomber pour partir à la recherche de cette maman à Rome puis à Jérusalem. Comme toujours avec Baptiste Beaulieu, la fantaisie et l'imagination sont au service d'une grande humanité. Certains personnages sont extrêmement savoureux, on s'attache à ce jeune interne, le double assurément de l'auteur, avec ses questions existentielles, ses révoltes, capable d'aller jusqu'au fond des choses quitte à se brûler les ailes. La grande leçon de cette histoire est qu'il ne faut pas juger sur les apparences. Chacun a ses parts d'ombre, ses blessures. Baptiste Beaulieu est un vrai conteur et nous emmène dans son univers fantasque et poétique. Moi j'embarque avec plaisir à chaque fois.
Une histoire que j'ai vraiment trouvé touchante et émouvante. Nous sommes plongé dans la quête d'un infirmier qui tente de découvrir la vérité, les origines d'un de ces patients : un enfant très malade. J'ai beaucoup apprécié la manière dont cette histoire est écrite. Des moments très poétiques, d'autres très durs. La fin m'a vraiment bouleversé.
Construit par l'alternance entre l'avant et l'après de la déchirure, ce roman fait penser à un roman fantastique.
Même si c'est l'histoire d'un enfant malade, ce roman n'est jamais larmoyant mais on suit No qui reste avant tout un enfant qui fait des farces, s'amuse, attend sa maman avec impatience.
On ressent aussi tout le désarroi de ce jeune médecin face à son incapacité à soigner, alors il accompagne, essaie de rendre la vie un peu plus légère.
Et pour finir il y a cette mère souvent absente dont on découvre l'histoire peu à peu. Une histoire peu courante, faite de blessures et d'amour.
Une belle histoire un peu déstabilisant dans sa forme mais qui se lit bien grâce à l'écriture fluide et très visuelle de Baptiste Beaulieu.
Quelques photos intercalées dans le texte absorbe le lecteur et permet de faire des pauses scrutatrices.
C’est l’histoire de trois personnes : Jo’, interne en pédiatrie ; No’, un petit garçon de 7 ans, patient de Jo’, il est atteint d’une maladie incurable et il ne comprend pas pourquoi sa maman ne vient presque jamais le voir ; Maria, la maman de No’, femme secrète au passé mystérieux et douloureux. Un jour survient « la déchirure ». Le jeune interne et le fantôme du petit garçon vont parcourir le monde pour comprendre. Comprendre l’attitude de Maria et ainsi découvrir son secret.
Ce livre est à la fois un roman, un conte, une fable. Il est sombre, mélancolique, sinistre, cruel mais aussi (Et heureusement !) joyeux, plein de vie et d’espoir. Le récit nous fait réfléchir sur un certain nombre de sujets : qu’est-ce que la vie, la mort ? , la relation soignant-soigné (Jusqu'où peut-on aller ? Comment le soignant doit-il gérer ses émotions ?), l’homosexualité, la différence, la phobie d’impulsion………
Très belle histoire, forte et riche en émotions !!!!!
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
Dernière réaction par Jean-Thomas ARA il y a 2 jours
Dernière réaction par Yannis Fardeau il y a 5 jours
Des romans, livres de recettes et BD pour se régaler en famille !
Découvrez 6 romans délicieusement horrifiques et tentez de les gagner...
Alice a quatorze ans quand elle est hospitalisée : un premier roman foudroyant
Yeong-ju est l’heureuse propriétaire d’une nouvelle librairie, située dans un quartier résidentiel de Séoul...