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Entre Lafitau (1681-1740) et Durkheim (1858-1917), Bordeaux a connu quelques-uns des fondateurs de l'ethnologie. Parallèlement, à la fin du 19e siècle, la faculté de médecine constituait un musée d'ethnographie rassemblant une rare collection d'objets de tous les continents. Le colloque de mars 1994 donne un premier bilan de cette histoire. Les communications ont été regroupées en quatre thèmes. L'Ancien Régime : J.-F. Dupeyron, "Montaigne et les sauvages" ; M.-C. Latry, "De Lancre : un démonologue en Aquitaine" ; B. Traimond, "La légitimation du discours indignée : les Jésuites bordelais du mysticisme aux missions" ; C. Larrère, "Montesquieu et les sauvages". Les origines de l'ethnologie : F. Dupuy, "De Caila et l'Académie celtique" ; P. Gardy, "Le regard du grincheux : Pierre Bernadeau et l'ethnologie" ; A. Ricard, "Eugène Casalis, les Bassoutos, la poésie...". L'université : A. Viaut, "Bourciez et les études gasconnes" ; C.-H. Cuin, "Durkheim et Mauss à Bordeaux. Naissance de l'ethnologie scientifique française" ; C. Mériot, "Le musée d'ethnographie de l'Université de Bordeaux II" ; J.-M. Charpentier, "L'ethnologie à l'université". Aujourd'hui : D. Nibourel, "L'ethnologie d'entreprise : légitimité et distanciation" ; L. Lopez Acosta, "Mon nom est Bordeaux : essai d'anthroponymie siouane".
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