Passionné(e) de lecture ? Inscrivez-vous gratuitement ou connectez-vous pour rejoindre la communauté et bénéficier de toutes les fonctionnalités du site !  

J'étais à la guerre et c'était très vivant : Pourquoi je lis "a l'ouest, rien de nouveau" d'Erich Maria Remarque

Couverture du livre « J'étais à la guerre et c'était très vivant : Pourquoi je lis
Résumé:

Essai hors-normes confrontant performance poétique, éloge littéraire et adresse interactive, cet hommage au classique "A l'Ouest, rien de nouveau" déborde de la joie pure et incontrôlée du soldat recherchant la vie plutôt que la mort sur le champ de bataille ou dans les bois, autant que d'une... Voir plus

Essai hors-normes confrontant performance poétique, éloge littéraire et adresse interactive, cet hommage au classique "A l'Ouest, rien de nouveau" déborde de la joie pure et incontrôlée du soldat recherchant la vie plutôt que la mort sur le champ de bataille ou dans les bois, autant que d'une urgence d'aujourd'hui et d'une angoisse existentielle propre à chaque instant de l'Histoire, dépassant le récit de guerre et ses visions cinématographiques. Se fondant sur le principe de la tranchée répandu lors de la Première Guerre mondiale, cadre du célèbre roman qu'elle découvre un jour abandonné dans une rue, Pauline Picot scinde son texte en deux, l'hommage au livre d'Erich Maria Remarque d'un côté de la page, l'explosion des sensations, émotions, impressions, douleurs et revanches, de l'autre. C'est un maëlstrom et c'est un feu d'artifice, sous la forme du bouquet, toujours tendu au lecteur d'une main amie, tantôt timide et tantôt résolue.

Donner votre avis