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Au cours de l'été 1980, Gesine Auffenberg, qui vient de rompre avec son compagnon, se rend au Soudan pour un voyage au gré des hasards en train ou à cheval, nouant avec l'animal une relation privilégiée, elle traverse habillée en homme ce pays, ses paysages hostiles ou fascinants, ses déserts et ses pauvres oasis. Un périple extrême dans un monde qui lui est totalement étranger, mais où elle apprendra une convivialité sans familiarité, la joie simple et la beauté fugace ou éternelle des lieux et des êtres, mais aussi la soif et la faim jusqu'à l'intolérable, les affres de la malaria. Gesine Auffenberg scrute toute la misère d'un monde abandonné par le reste du monde. Foules, saints, fous, lépreux, tous les déchus de la terre défilent devant ses yeux.
Je bois le vent rappelle les fulgurances des lettres d'un certain Arthur Rimbaud, tant Gesine Auffenberg possède l'art de dire l'essentiel en peu de mots. Assurément, cette prosatrice est un très grand poète.
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