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Hymne a l'amour - roman

Couverture du livre « Hymne a l'amour - roman » de Therese Zrihen-Dvir aux éditions Lacoursiere
Résumé:

Dans la lignée de Victor Hugo (Notre-Dame de Paris), Hymne à l'amour est le nouveau roman de l'auteure Thérèse Zrihen-Dvir dont l'oeuvre continue de paraître en français et en anglais notamment. Une fiction qui vous émouvra ! Voici l'avis de Philippe Arnon, écrivain : « Le nouveau livre de... Voir plus

Dans la lignée de Victor Hugo (Notre-Dame de Paris), Hymne à l'amour est le nouveau roman de l'auteure Thérèse Zrihen-Dvir dont l'oeuvre continue de paraître en français et en anglais notamment. Une fiction qui vous émouvra ! Voici l'avis de Philippe Arnon, écrivain : « Le nouveau livre de Thérèse Zrihen-Dvir Hymne à l'amour, s'agissant de la littérature, est de la hauteur de la philosophie chez Hannah Arendt et de celle des notions de dhimmitude et d'Eurabia si talentueusement développées par Bat Yé'Or. Dès les premières pages et comme au cinéma, on glisse ses deux pieds joints ou plutôt devrais-je dire, toute son âme, dans l'histoire avec cette forte envie étrange qui prend tout spectateur, d'intervenir parfois, de souffler un mot, un conseil aux personnages. J'ai déjà ressenti cette force d'attraction quand je me suis mis à lire Crime et châtiment de Dostoïevski. Les deux héros de « Hymne à l'amour », Arielle et Gaëtan, comme Raskolnikof, m'ont tout de suite cerné, enlacé, envoûté. Les phrases de Thérèse Zrihen-Dvir évoquent pour moi ces grandes rivières françaises - la Marne, le Loir, le Cher - dont le courant, jamais impétueux et donc, à peine perceptible mais toujours porté par une puissance évidente, les mènent à travers la verdure qui les entoure, vers l'estuaire du grand fleuve du destin qui s'achève dans une conclusion heureuse. Cette conclusion heureuse est finalement le sens de la vie qui a fini, après de longues batailles, par triompher parce que finalement pour Thérèse Zrihen-Dvir, la vie des hommes et des femmes, ce n'est pas un film américain classique au point d'en être bêtement banal parce qu'il finit généralement par « ils s'aimèrent et eurent beaucoup d'enfants », c'est une équation qui a été décidé par le Grand Juge... Dieu, bien sûr ! »

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