"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Chez les Tannenbaum, on est petit. Trois générations d'achondroplases, soit sept naines, gèrent ensemble Tannenland, le paradis réduit des animaux miniatures. Deuxième curiosité alsacienne après la cathédrale de Strasbourg, experte en Bredele et productrice des meilleurs shows de Noël de la région, cette famille n'a rien d'ordinaire. Sauf peut-être Richard, 19 ans, le seul garçon de la tribu. Le seul grand, aussi. L'exception à la règle, la mouche dans le lait. Tout aurait pu néanmoins rester ainsi, si... Si le coeur de Lulu Tannenbaum, 16 ans, ne s'était pas déglingué ! Si la Syrie n'était pas en guerre. Et si Hervé Vilard était juste un chanteur.
Falalalala est plus qu'une simple histoire, c'est la rencontre avec la famille Tannenbaum. Une famille complètement farfelue mais terriblement attachante. Promis on s'y sent bien. On va suivre Richard, un grand jeune homme de 19 ans qui se sent seul car il est très différent des femmes de sa vie. Sept femmes naines au tempérament de feu.
Comme dans toute les familles, celle-ci à ses petits secrets, ses joies, mais aussi ses peines. Un véritable esprit de famille où les festivités sont au cœur du roman. Entre odeurs de pains d'épices et de bredeles, vous allez rire (beaucoup!), pleurer (des larmichettes)et fredonner tout au long de votre lecture Falalalala
Émilie Chazerand a une plume très particulière à laquelle j'ai tout de suite adhéré. Des réparties délectables, des situations rocambolesques, des dialogues savoureux et un humour aux petits oignons. C'était franchement falalalalesque!
Le début peut sembler tortueux face à la brochette de personnages, mais je peux vous assurer qu'à la fin de ce roman, vous les connaîtrez tous et vous n'aurez aucune envie de les quitter. Et encore moins de les oublier !
Falalalala, c'est une friandise littéraire qui se savoure !
Le mois de décembre rime avec lectures autour de Noël et si de temps en temps je ne suis pas contre une petite histoire romantique sous la neige, disons que ce n’est pas trop ma tasse de thé. Lorsque les éditions Sarbacane m’ont envoyé Falalalala d’Emilie Chazerand avec une musique de Noël et quelques étoiles à la cannelle, j’ai sauté sur les biscuits savoureux et ai retardé le moment de lire ce roman. Noël approchait et il était temps de tenter cette lecture au titre sentant bon Noël. Et là, je fus agréablement surprise car point de mièvreries ni de bons sentiments mais un roman drôle et aux personnages attachants !
Voici la présentation des éditions Sarbacane
Chez les Tannenbaum, on est petit. Trois générations d'achondroplases, soit sept naines, gèrent ensemble Tannenland, le paradis réduit des animaux miniatures. Deuxième curiosité alsacienne après la cathédrale de Strasbourg, experte en Bredele et productrice des meilleurs shows de Noël de la région, cette famille n'a rien d'ordinaire. Sauf peut-être Richard, 19 ans, le seul garçon de la tribu. Le seul grand, aussi. L'exception à la règle, la mouche dans le lait. Tout aurait pu néanmoins rester ainsi, si... Si le coeur de Lulu Tannenbaum, 16 ans, ne s'était pas déglingué ! Si la Syrie n'était pas en guerre. Et si Hervé Vilard était juste un chanteur.
J’ai savouré cette lecture comme les étoiles à la cannelle qui étaient avec ! Emilie Chazerand m’a fait rire et parfois aussi a fait monter quelques larmes mais j’ai apprécié les jeux de mots, les personnages atypiques de ce roman. Quand les lutins de Noël sont remplacés par une famille complètement falalalalesque, on ne peut qu’apprécier ce roman ! Une véritable bouffée d’oxygène tout en plongeant dans les odeurs de sapins, de bredele, voici ce qu’on découvre en lisant Falalalala !
En résumé : si vous avez envie de prolonger l’ambiance – décalée – de Noël, lisez ce roman !
Rhaa, je sais je vais me faire des ennemis mais, bien qu'adorant l'humour et les mots d'Emilie Chazerand j'ai eu du mal à entrer dans ce roman. Le début est trèèèès long, je ne savais pas où on était, ce qui se passait, trop de personnages, de mots, de situations.. J'ai eu du mal à continuer. Et puis je l'ai fait, parce que c'est Émilie, et j'ai adoré cette tendre histoire de Noël dans cette famille déjantée mais si réelle. Mais il y a tout de même ce p'tit bémol du début.
En fait, il faut se laisser porter, par les états d'âmes de toute la généalogie Tannebaum complétement loufoque mais attachante entre cours de cuisine, odeur de chocolat chaud, chant de Noël, disputes hautes-en-couleur, réconciliation et tellement de choses qu'il est impossible à résumer. Comme dans toutes les familles, ils s'aiment et se détestent à la fois, se cachent des choses, dévoilent tout au pire moment, se confient...
C'est un florilège d'émotions et de rire, complétement farfelu: "Non, elle a osé", ce nouveau roman va plus loin dans l'émotion que La Fourmi Rouge, il donne le Smile, il fait rêver, on a envie de noter chaque petite phrase hilarante. On nous parle de différence, de migration, de deuil, de boulimie, de napperons brodés bref, un subtile alliage de légèreté et de gravité. Alors oui, je recommande ce bon gros bouquin éblouissant remède anti tristesse de l'hiver, bien que je sois restée un peu en retrait. [mais je reconnais le talent :) ]
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