80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
"La théorie du genre n'existe pas" , proclamait la ministre de l'Education nationale Najat Vallaud-Belkacem. Et pourtant, cela fait presque dix ans que la porte de l'école s'est ouverte à cette idéologie prônant la déconstruction des "stéréotypes sexués" , qui nous seraient imposés par la culture et l'éducation... Autrement dit, on ne naîtrait pas fille ou garçon, on nous imposerait de le devenir.
Sous couvert de légitimes combats pour l'égalité des sexes et contre l'homophobie, cette entreprise de déconstruction vient toucher les plus jeunes sans que leurs parents en soient informés et puissent réagir. Et ce n'est pas fini... Programmes, manuels, livres, spectacles, éducation à la sexualité, interventions d'associations militantes, mais aussi lobbying dans les entreprises et la culture, politiques publiques, tous les moyens d'action employés par les tenants du genre sont passés au crible.
Ce livre veut être un cri d'alarme, preuves à l'appui, au sujet de cette confusion qui se répand, et qui peut faire des ravages chez les enfants et les jeunes. Esther Pivet, polytechnicienne, mariée et mère de quatre enfants, est la coordinatrice du collectif VigiGender, qui assure un travail d'information auprès des parents et des enseignants sur la diffusion de la théorie du genre à l'école.
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