L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
La scolarisation de Tiédaba Koné n'a aucun point commun avec celle d'un enfant en Occident. Né dans un village enclavé au fond des savanes africaines, sa vision du monde se limitait à son horizon. Animiste comme ses parents, il a vite compris que sa vie se passerait dans la croyance et le respect de deux mondes : le monde des invisibles, habité par ses Ancêtres, et le monde des visibles dans lequel il vivait. Il a suivi dans sa communauté un ensemble d'enseignements successifs, appelé « L'école de la vie ». Cette voie devait le conduire à l'âge de la sagesse. Mais voilà qu'un événement vint entraver cet itinéraire bien tracé. Il dut partir loin de sa famille, de son village pour aller à l'école des « Blancs ». Sa scolarisation a été décidée par un bâton, long pour avoir la taille d'un enfant scolarisable. Car à défaut d'état civil, il fallait inventer un moyen pour trouver parmi les enfants du village, celui qui aurait la bonne taille. C'est comme cela qu'il a été choisi pour aller à l'école. Ce fut un choc car c'était une première dans la région. Avec ses mots et ses sensibilités, l'auteur nous invite à travers cette sorte de biographie, à partager avec lui ses moments de déchirement, de grande tristesse, parfois de joie malgré tout, occasionnés par son éloignement forcé de ses parents, de son milieu naturel.
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