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Bienvenue à Orario, la Cité-Labyrinthe où cohabitent dieux et humains. Sous cette ville, les aventuriers, bénis des dieux, partent en quête de gloire et de fortune dans le Donjon ; un dédale mystérieux infesté de monstres.
C'est là que nous rencontrons Bell Cranel, un jeune provincial de 14 ans, qui malgré son manque d'expérience part à la conquête du Donjon sous la protection d'Hestia, une déesse impopulaire. Le hasard faisant mal les choses, il tombe sur un terrible Minotaure. Il est alors sauvé par Aiz Wallenstein, une belle épéiste, dont il tombe immédiatement amoureux. Galvanisé par ce nouveau sentiment, il repart à l'assaut du mystérieux labyrinthe.
Était-ce une erreur de vouloir suivre les pas de cette fille ? Le chemin qui mènera notre jeune héros vers son âme soeur risque en tout cas d'être semé d'embûches...
Excellent livre. Je recommande à tous.
En moi, sommeille une jeune passionnée par les romans et la culture pop japonais, nourrit pendant longtemps aux mangas avec les traits des personnages, par moment, exagérés pour rendre ces derniers plus expressifs. De plus, la maison d’édition Ofelbe m’intrigue énormément avec ses parutions telle que sur l’univers des jeux-vidéos ‘Sword Art Online’ ou encore ‘Log Horizon’, réveillant mon côté passionné.
Poussée par l’envie de découvrir, de plus en plus, les univers proposé par Ofelbe, je me suis laissé tenter par leur dernière parution : Dan Machi - la légende des Familias ! Ce « light novel » a été une superbe découverte, une belle aventure humaine dans l’univers fantastique de Fujino Omori ! Un doux rappel à mon adolescence et aux heures passées à lire les mangas.
Alors, pour tout vous dire, je ne sais pas si c’est tout d’abord l’univers qui m’a séduite ou le fait de tomber sur ce jeune garçon Bell Cranel, aventurier pas très courageux mais plein de charme, qui ne souhaite que rencontrer des filles, avoir un harem. Peut-être un subtil mélange des deux…
Dès les premières pages, ce roman m’a happé. Avec cette impression de lire un manga à travers le récit détaillé de l’aventure de Bell, collé à la peau, on immerge avec facilité dans l’univers fantastique créé par Fujino Omori.
Très inspiré du monde des jeux vidéo avec son donjon, sa quête quasi-épique de notre charmant héros, sa montée en puissance et en niveau, l’auteur développe un univers riche et complexe qui fascine à travers cette cité-labyrinthe nommée Orario. Non seulement ce monde est peuplé de mortels qui s’aventurent dans un sombre souterrain pour affronter de dangereux monstres en quête de fortune et de pouvoir mais ces derniers hommes sont bénis des Dieux. Certains vivent même parmi eux…
Qui dit univers original, dit personnage « atypique ». On y retrouve même les codes classiques du manga dans la présentation des personnages, que ce soit le héros avec ces cheveux blancs, ses yeux rouges, ou encore les dieux… Enfin plus particulièrement les déesses. Je vous laisse imaginer la description de ces fameuses incarnations nommées Hestia, Loki, Héphaïstos ou même la belle épéiste Aiz… Plus aisé encore, pour les plus curieux d’entre vous, il suffit de feuilleter les premières pages du livre, où de jolies illustrations sont publiées pour le plaisir de la gente masculine.
Juste, retenez le nom de Bell Cranel ! Un personnage attachant par sa naïveté, sa maladresse, son esprit combattif. Laissez-le vous séduire, vous emmener dans ce monde fantastique, et suivez le dans son aventure épique, pleine d’action, de rebondissement et d’humour.
Dan Machi, la légende des familias est un roman prometteur, très addictif grâce à un univers original et complexe, porté par un personnage autant attachant que charismatique ! N’hésitez pas à partir à l’aventure ! Il me tarde de découvrir la suite !
J’étais très contente de pouvoir le lire car je n’avais jamais lu de light novel avant ce roman, et j’ai été sous le charme de ce genre de livre ! Pour ceux qui ne connaissent pas ce type de roman, c’est un manga qui est adapté sous forme de roman, et il est adapté à un jeune public (lycéens et étudiants). A l’intérieur, on découvre parfois de belles illustrations qui nous permettent d’encore mieux visualiser les scènes !
L’histoire est celle de Bell Cranel, jeune garçon de quatorze ans. Il vit dans un monde où les Dieux sont descendus dans le monde et n’ont plus aucun pouvoir. Ils ont ainsi crée des Familias qui sont en quelque sorte des « familles » où des mortels sont regroupés afin d’apporter de l’argent à leur Dieu ou leur Déesse. La plupart d’entre eux sont des aventuriers entrant chaque jour dans le Donjon, endroit peuplé de monstres à tuer pour avoir de l’argent et dans lequel chaque étage est plus dangereux que le précédent. Et Bell est dans la Familia de la déesse Hestia, et il est le seul à en faire partie. Un jour qu’il s’aventure dans le Donjon, il va être sauvé de justesse par Aiz Wallenstein, une guerrière douée. Il va alors décidé de se lancer sur ses traces afin d’être l’un des meilleurs guerriers.
Je trouve que cette histoire est vraiment originale ! Malgré un schéma classique de celui qui ne sait pas se battre allant progressivement devenir un incroyable combattant, cet univers est unique en son genre. De par l’imagination débordante de l’auteur, on découvre un univers travaillé et vaste, brisant les mythes. En effet, les Dieux ne sont pas au ciel pour veiller sur les humains, ceux-ci sont venus parmi les mortels afin de faire leur vie. Fujino Omori a parfaitement su remanier les mythes afin de donner un nouveau souffle à la littérature. N’ayant jamais lu des livres d’origine japonaise, c’était un réel plaisir que de dévorer les pages. On a le droit à quelques rebondissements dans cette histoire, et on dérive parfois sur d’autres, tel que Bell tombant amoureux d’Aiz (ce qui était prévisible ce n’est même pas un spoiler !). Mais tout finit par se rattacher à l’intrigue principal tournant autour de Bell.
Du coup, venons-en aux personnages. Il y en a une multitude, autant parmi les Dieux que chez les mortels. J’ai beaucoup aimé la personnalité de Bell, il est déterminé et ne se laisse pas abattre. Il continue de croire qu’un jour il sera un vrai aventurier, lui qui n’appartient à la Familia d’Hestia que depuis deux semaines au début du roman. Venons-en ensuite à Hestia elle-même. Très clairement, je n’ai pas su l’aimer. Le corps qu’elle a choisi en venant dans le monde des mortels est celui d’une jeune fille, et, malgré son immortalité et son âge divin, elle est à l’image de son corps et agit comme une enfant, devenant jalouse et faisant des caprices. J’ai vraiment eu du mal avec elle ! Concernant Aiz, et bien on n’entend pas souvent parler d’elle mais elle parait réservée, se contentant de dire le nécessaire. Après, il y en a plein d’autres mais donner mon avis pour chaque prendrait trop de temps ! En tout cas, chacun a une personnalité unique et si bien creusée qu’il m’arrivait de les détester ou de les aimer. Cela donne un côté réaliste vraiment agréable !
Concernant la plume de l’auteur, je la trouve vraiment belle, avec de jolies phrases bien construites qui se lisent d’une traite. Par contre, j’ai l’impression que, parfois, l’auteur se perd dans ses explications. Je pense notamment aux aventuriers qui, en gros, ont une sorte de code dans le dos, indiquant leur niveau de force, d’agilité, de défense, etc. J’ai vraiment eu du mal à suivre les explications qui se poursuivent sur plus d’une page. C’était vraiment long par rapport au reste des informations données par l’auteur. La grande majorité nous permet de mieux comprendre l’univers, mais parfois c’est assez difficile comme je viens de le dire. Par contre, le livre est capable d’être époustouflant de réalisme, on se croirait presque plongé dans l’histoire parfois. L’auteur nous décrit bien chaque scène avec un vocabulaire plutôt riche.
Je voulais ensuite dire quelques mots sur l’histoire en général. Ce roman a la qualité de s’adapter à tous les âges car l’auteur écrit vraiment bien et je pense que l’histoire ne s’adapte pas seulement aux jeunes, mais à tout le monde. Comme on en discutait avec Alicia de Papillon-Voyageur lors de notre lecture commune, le personnage principal n’a que quatorze ans, on pourrait penser que le livre n’est réservé qu’autour de cette tranche d’âge mais pas du tout ! On avait parfois l’impression qu’il avait seize ou dix-sept ans car il parait assez mature par rapport aux gens de son âge. Mais cela donne ainsi un aspect plus ouvert à tous à l’intrigue.
Il me faut enfin vous dire un petit quelque chose sur les illustrations et sur la fin. J’ai trouvé les dessins splendides ! Ils apportent un aspect visuel à certaines scènes, ce qui est toujours un plus, même si les descriptions de l’auteur suffisent parfois. Mais n’ayant jamais lu de light novel, cela m’a surprise de voir des illustrations mais j’ai adoré ! Elles sont très bien faites et parfois assez drôles ! Une petite touche d’humour et d’originalité dans une histoire palpitante et très bien menée ! Parlons maintenant, en quelques mots, de la fin. Je la trouve vraiment bien menée, et elle nous donne envie de vouloir lire la suite ! Tout au long du roman, l’auteur nous a montré son talent incroyable, et avec cette fin, il ouvre sur quelque chose d’encore meilleur ! Je n’ai qu’une envie : pouvoir lire le second tome !
En bref, une light novel que j’ai dévoré et dans laquelle Fujino Omori nous présente un univers parfaitement construit et écrit d’une plume de maître ! Je recommande ce roman à tous ! Ma première expérience en matière de light novels est très réussie j’ai adoré ! Pas un coup de cœur, car cette fin a éveillé ma curiosité, et je me dis que les autres tomes peuvent être encore meilleurs !
https://lapetiteetagere.wordpress.com/2016/07/31/danmachi-livre-tome-1/
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