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Kawaguchi Toshikazu

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Avis sur cet auteur (66)

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    Couverture du livre « Le Café des au revoir » de Kawaguchi Toshikazu aux éditions Albin Michel

    Jasper GARP sur Le Café des au revoir de Kawaguchi Toshikazu

    J’aime les histoires qui parlent de voyages dans le temps , mais pour être tout à fait honnête , un voyage dans le temps qui dure le temps qu’un café refroidisse , ça fait quand même un peu court , genre ristretto…D’où la frustration des voyageurs et accessoirement la mienne en tant que...
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    J’aime les histoires qui parlent de voyages dans le temps , mais pour être tout à fait honnête , un voyage dans le temps qui dure le temps qu’un café refroidisse , ça fait quand même un peu court , genre ristretto…D’où la frustration des voyageurs et accessoirement la mienne en tant que lecteur.Cette petite frustration ne retire rien au plaisir de lecture des 4 histoires qui composent ce romanLe principe est simple : permettre de dire revoir un proche décédé , préciser certaines choses et pouvoir lui dire au revoirLe titre des 4 histoires est à ce sujet plutôt clair :
    1) Le mari qui avait quelque chose d’important à dire
    2) La femme qui n’avait pas pu dire au revoir à son chien ( il ne s’agit pas de la femme de l’histoire n°1

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    Couverture du livre « Le Café des au revoir » de Kawaguchi Toshikazu aux éditions Albin Michel

    LaetiF sur Le Café des au revoir de Kawaguchi Toshikazu

    Dans ce troisième opus de la saga "feel-good" asiatique, nous revenons sur nos pas, un an après les événements du premier tome, "Tant que le café est encore chaud". Le 'Funiculi Funicula', tenu par Nagare et Kazu, accueille quatre nouvelles personnes et leurs tranches de vie.
    Le roman s'ouvre...
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    Dans ce troisième opus de la saga "feel-good" asiatique, nous revenons sur nos pas, un an après les événements du premier tome, "Tant que le café est encore chaud". Le 'Funiculi Funicula', tenu par Nagare et Kazu, accueille quatre nouvelles personnes et leurs tranches de vie.
    Le roman s'ouvre sur l'histoire d'un archéologue qui réalise avec regret qu'il aurait dû être un meilleur mari et père de famille. Le second chapitre met en scène une femme qui regrette d'avoir somnolé au moment de la mort de son chien (et cette histoire m'a plus émue qu'espéré !). Le troisième est centré sur une jeune femme qui regrette sa réponse à une demande en mariage. Le dernier chapitre est consacré à une jeune fille qui éprouve beaucoup de remords après une ultime dispute avec son père.

    Avec ces quatre nouvelles nouvelles, il est encore - et toujours - question d'amour (familial ou romantique) dans différents cadres, et de la nécessité de communiquer pour entretenir de saines relations avec ses proches. L'autre point commun entre les nouvelles transparaît ostensiblement dans mes phrases précédentes : les regrets et les remords...

    J'ai trouvé ce dernier opus en date moins intéressant que les précédents. La recette reste identique : style fluide, très facile à lire (malgré quelques faiblesses gênantes mais pas rédhibitoires). C'est encore un roman-bonbon, acidulé, aéré malgré la tristesse des histoires racontées. En revanche, il ne faut pas craindre les redondances de narration ou de construction pour l'apprécier... Car les 5 règles sont énumérées de nombreuses fois et le schéma narratif est toujours le même : présentation du personnage, aller-retours temporels, dans les souvenirs du personnage phare du chapitre puis dans le café.
    De mon point de vue, la mécanique s’essouffle à présent, et rien ne vient la renouveler ici, ce qui m'a un peu déçue. Autre point de déception : je n'ai pas obtenu les réponses aux questions ouvertes dans le deuxième tome, ni les explications que j'attendais au sujet des intrigues du troisième tome. Je ne sais pas si un cinquième tome est prévu, mais je ne suis pas sûre d'avoir envie de m'y remettre lorsqu'il sortira...

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    Couverture du livre « Le café où vivent les souvenirs » de Kawaguchi Toshikazu aux éditions Albin Michel

    LaetiF sur Le café où vivent les souvenirs de Kawaguchi Toshikazu

    Dans ce troisième opus de la saga "feel-good" asiatique, nous partons en 2030, à la découverte d'un autre établissement. Situé à Hakodata, le 'Donna Donna' est temporairement tenu par Nagare et Kazu. Nous y retrouvons donc deux protagonistes du 'Funiculi Funicula' : l'oncle et sa nièce...
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    Dans ce troisième opus de la saga "feel-good" asiatique, nous partons en 2030, à la découverte d'un autre établissement. Situé à Hakodata, le 'Donna Donna' est temporairement tenu par Nagare et Kazu. Nous y retrouvons donc deux protagonistes du 'Funiculi Funicula' : l'oncle et sa nièce remplacent Yukari Tokita en compagnie de Reiji et Sachi. Cette dernière est une jeune grande lectrice, qui nous interpelle tout au long du livre au sujet des "100 questions" avant l'effondrement du monde...
    Les règles sont toujours les mêmes, au nombre de 5. Si vous les aviez oubliées, pas d'inquiétude : elles seront répétées souvent au court du roman...!

    Le premier chapitre nous présente une jeune femme qui en veut à ses parents de l'avoir abandonnée trop tôt en mourant. Le second est centré sur l'humoriste qui voudrait remercier sa femme défunte, et, peut-être, profiter encore un peu de son engouement. Le troisième met en scène deux sœurs très proches qui doivent se parler avant l'ultime séparation. Le dernier est consacré à un membre de l'équipe du café qui tente d'avouer des sentiments très anciens.
    Avec ces quatre nouvelles nouvelles, il est encore question d'amours dans différents cadres (familial : d'enfants pour leurs parents ou entre sœurs ; romantique : naissant ou ancien), mais aussi des incompréhensions, mauvaises interprétations ou erreurs de jugement commises par chaque protagoniste.

    Je me suis rapidement plongée dans ce genre de feel-good asiatique à tendance "développement personnel" sans prétention mais qui se lit vite et sans effort. Je ne suis pas sûre qu'on puisse le classer dans la catégorie des 'Iyashikei' car cet ouvrage ne correspond pas tout à fait aux définitions que j'ai trouvées. L'aspect fantastique, même s'il est crucial, n'est pas prédominant et apparaît plutôt en filigrane.

    Le style est toujours aussi fluide et très facile à lire (malgré quelques faiblesses gênantes mais pas rédhibitoires). C'est encore un roman-bonbon, acidulé, aéré malgré la tristesse des histoires racontées. En revanche, il ne faut pas craindre les redondances de narration ou de construction pour l'apprécier... Car les 5 règles sont énumérées une foule de fois et le schéma narratif est toujours le même : présentation du personnage, aller-retours temporels, dans les souvenirs du personnage phare du chapitre puis dans le café.
    Il faut tout de même avouer que la mécanique vraiment trop bien rodée s’essouffle un peu, mais le changement de lieu et l'arrivée de nouveaux personnages (Sachi, Saki, Reiji et Nanako) renouvelle légèrement l'intrigue. En revanche, j'ai été gênée par les similitudes entre les prénoms des personnages (Sachi/Saki, Reiji/Reiko, Nagare/Nanako, Yukari/Yukika) et les confusions récurrentes que cela engendre... Les prénoms n'auraient-ils pas pu être modifiés pour les éditions étrangères ?
    J'ai tout de même été intriguée par le gentleman fantôme, je lirai donc sans doute le quatrième et dernier tome dans quelques semaines.

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    Couverture du livre « Le café du temps retrouvé » de Kawaguchi Toshikazu aux éditions Albin Michel

    LaetiF sur Le café du temps retrouvé de Kawaguchi Toshikazu

    Nous retrouvons les personnages du café Funiculi Funicula, Nagare et Kazu, accompagnés de la petite Miki, environ 7 ans après le premier tome de la série. Au détour des quatre nouvelles autour de la clientèle, nous en apprenons plus sur les passés de chaque personnage emblématique du café, y...
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    Nous retrouvons les personnages du café Funiculi Funicula, Nagare et Kazu, accompagnés de la petite Miki, environ 7 ans après le premier tome de la série. Au détour des quatre nouvelles autour de la clientèle, nous en apprenons plus sur les passés de chaque personnage emblématique du café, y compris la mystérieuse fantôme de blanc vêtue. Tandis que le personnage énigmatique de la serveuse, Kazu, se dévoile et s'épaissit à la fois.

    Le premier chapitre est consacré au gérant Gôtarô Chiba, sa fille adoptive Haruka et son ami perdu. Le second est centré sur le céramiste Yukio qui souhaite revoir sa mère défunte pour s'excuser et la remercier. Le troisième nous transporte dans le futur avec l'arrivée de Katsuki qui doit prendre des nouvelles de sa bien-aimée. Le dernier met en scène l'ex commissaire Kiyoshi qui a un cadeau à offrir à sa femme depuis plus de 20 ans... Avec ces quatre nouvelles nouvelles, il est encore question d'amours dans différents cadres (paternel, filial, romantique naissant ou passé).

    J'y ai retrouvé le genre de feel-good asiatique à tendance "développement personnel" sans prétention mais qui se lit rapidement et avec plaisir. L'aspect fantastique, même s'il est crucial, n'est pas prédominant. Il apparaît plutôt en filigrane, comme dans certaines peintures de style nihonga. J'étais plus intriguée par l'équipe du café que par la clientèle et je ne suis pas sûre de garder un souvenir très prégnant des histoires annexes à celle de l'histoire du café...

    Le style est toujours aussi fluide et très facile à lire (malgré quelques faiblesses de traduction un peu gênantes mais pas rédhibitoires). C'est encore un roman-bonbon, acidulé, aéré malgré la tristesse des histoires racontées. En revanche, il ne faut pas craindre les redondances de narration ou de construction pour l'apprécier... Car les 5 règles sont énumérées une foule de fois et le schéma narratif est toujours le même : présentation du personnage, aller-retours temporels, aller-retours passé/présent/futur du point de vue du personnage phare du chapitre.

    Je lirai le troisième tome puisque je l'ai déjà dans ma liseuse et parce que je suis curieuse des développements autour de Kazu et Miki, mais je n'attends aucun renouvellement de style, de construction ou de narration dans la suite de cette saga.