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Un tsunami en Asie, une inondation à la Nouvelle-Orléans, un cyclone en Haïti, un ouragan, un tremblement de terre, une éruption volcanique. Des milliers de morts, des dégâts par millions. Comment un Dieu bon peut-il permettre le mal, les souffrances d’un enfant atteint du cancer ou celles d’un peuple injustement persécuté. Jacques Duquesne constate que le Mal semble être partout. « À tous ceux qui crient et se révoltent, il faut dire qu’ils ont raison de crier », dit-il. Dès le départ se pose le problème du péché originel qui aurait été à la source de tous les malheurs du monde. Sans parler qu’on peut même aller jusqu’à se massacrer pour la plus grande gloire de Dieu. Et pourtant, il y a la théorie de l’évolution. Le monde est en perpétuelle création. L’avenir serait donc plein de promesses car Dieu est perpétuellement à l’œuvre et aurait même besoin des hommes…
« Dieu, malgré tout » se présente comme un essai de vulgarisation théologique d’abord facile et compréhensible. L’auteur part des catastrophes naturelles, de tous les ratés de la création, continue sur la condition humaine, sa capacité au pire comme au meilleur et finit par poser le problème de la présence du mal. Pourquoi Dieu le permettrait-il ? Serait-il un Dieu vengeur ? Un Dieu se satisfaisant de sacrifices ou châtiant aveuglément l’innocent comme le coupable ? Aucun philosophe, aucun théologien n’a jamais pu résoudre ce problème. Après un détour par Darwin et Teilhard de Chardin, Duquesne en vient aux conclusions ultimes. Dieu n’est qu’amour et humilité. Il souffre et crie avec les souffrants. Il n’est pas tout-puissant et ne veut pas l’être car s’il l’était nous ne serions pas hommes. Et notre « liberté » ne vaudrait pas bien cher. Un livre qui donne à réfléchir tout en secouant quelques vieux dogmes au passage.
Un roman autobiographique qui fleure bon ma Flandres natale et qui donne du baume au coeur en lisant les endroits connus de mon enfance dans l'enfance d'une autre personne ... L'avant guerre y est très bien décrit tout comme la guerre avec son lot d'horreur, de fatalité et de petites ou grandes joies ... j'ai adoré
Très long, trop de détails, trop de longueurs.
C'est décrit comme étant la vie d'Aline et le fait qu'elle s'émancipe.
Ce premier livre d'une saga part dans tous les sens et on a du mal à s'attacher à tous les personnages.
J'ai passé sur de nombreux passages.
Un vrai bon roman, très bien écrit, où l’on ne s’ennuie pas un instant.
Il n’y a pas d’originalité particulière dans le style ou la construction, mais on se laisse prendre complètement par l’histoire de Laura, une enfant allemande pendant la seconde guerre mondiale, prise dans la tourmente du nazisme.
La progression est bien menée, de l’enfance à l’âge adulte, les évènements et les sentiments sont décrits avec justesse.
Un bon moment de lecture
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