Inspirée d’une histoire vraie, cette BD apporte des conseils et des solutions pour sortir de l'isolement
Le polar peut aussi être traité de manière légère et divertissante. La série Karmela Krimm dont le tome 2 vient de sortir est dans cette veine là.
Une héroïne, ancienne inspectrice reconvertie en détective privée, un ton qui ne manque pas d’humour, un scénario qui démarre vite et bien, une ville de Marseille exceptionnellement recouverte de neige… Voilà des ingrédients qui promettent un bon moment.
Karmela est témoin d’un casse… un vol astucieusement réalisé par des drones… évidemment elle ne pourra pas s’empêcher de s’en mêler. 48 pages dynamiques même si on aimerait finalement en savoir un peu plus sur ce personnage qui semble trimballer quelques fêlures personnelles peu exploitées.
Au final, un divertissement plutôt bien fichu pour les amateurs d’aventures et récits policiers.
Pendant 150 pages, on suit les débuts de Sylvestre Rupert-Levansky, aujourd’hui président de la cour d’assises de Metz. Il s’apprête à prendre sa retraite et se remémore sa toute première affaire, c’est celle-ci qu’on va suivre le long de ces pages, mais à mesure que l’enquête avance, elle s’efface pour laisser place au quotidien de celui qui deviendra président de la cour d’assises. Il est en plein séparation avec son amie de l’époque, qui trouve qu’il est devenu ennuyeux.
J’ai bien aimé ce livre et la manière dont l’affaire initiale s’efface devant l’autre histoire. Je l’ai lu d’une traite. Difficile d’en dire plus sans doute entrer dans les détails. C’était mon premier polar BD, je n’ai pas d’éléments de comparaison, mais j’ai trouvé les codes couleurs efficaces, ils permettent de passer d’une histoire à l’autre sans se perdre. Bémol toutefois, sur la 4e, un “dernier procès” est évoqué, je pensais donc qu’il y aurait une enquête dans le présent du personnage, j’ai attendu de nombreuses pages avant de comprendre que la seule enquête qui serait développée est celle du temps de sa jeunesse.
Sixième reboot au sein du vaisseau YSS, toujours bloqué par la nécropole. Cette fois-ci c'est l'agente Leïla Sherad qui s'y colle avec l'aide d'un alien érudit pas vraiment taillé pour l'aventure, mais sait-on jamais ?
Un sixième tome qui cette fois parle d'art et de vie universelle et éternelle. J'ai avancé sans vraiment tout comprendre dans les premières pages, renouant parfois avec une certaine incompréhension de la science fiction à mon égard -ou peut-être est-ce l'inverse ?-, ce que je n'avais pas ressenti sur les tomes précédents. Mais j'ai persisté, d'abord parce que j'aime bien la série et ensuite parce que j'aime bien le trait de Franck Biancarelli et ses couleurs. Bien m'en a pris, parce que évidemment ce qui était un poil opaque -encore que je ne sache pas que l'on parle de l'opacité des poils- s'éclaircit. Encore une fois l'héroïne, forte en caractère et rebelle, aura fort à faire avec son binôme et avec l'autorité, et un peu aussi avec la drague lourde du lieutenant du vaisseau, mais bon c'est bon enfant, il est loin d'Harvey Weinstein.
Elle est très bien cette série qui tourne dans la maison à peine déposée sur la table. On ne s'étripe pas pour savoir qui la lira en premier, ben non, forcément c'est moi, puisque je suis le chef de famille ! Mais pour les places suivantes c'est une dure lutte (pas de grossièreté svp). J'en arrive au moment où je crie : "A qui le tour ?" et les prétendants d'arriver au triple galop.
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