Dans ce recueil de 13 nouvelles, la jeune autrice mexicaine frappe fort mais juste
On connaissait déjà les bestiaires de Juan José Arreola et de Julio Cortazar. Voici aujourd'hui celui d'une jeune Mexicaine, Silvia Eugenia Castillero. Il est de la même veine. Séduisant. Inquiétant. En arborant les traits quelque peu répulsifs de la mygale, du casoar, du vautour, du crapaud ou du léopard dénaturé, le poète explore en fait les instincts animaux qui se blottissent et se cachent dans l'inconscient de l'homme et de la femme. Ces petits poèmes animaliers à l'écriture précise, très contrôlée, sont chargés d'un violent pouvoir suggestif.
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