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Résultats des travaux d'un colloque international organisé du 2 au 4 décembre 1993 à Metz dans le cadre de la coopération entre le Centre d'études des périodiques de langue allemande de l'Université de Metz et l'URA 1282 du CNRS («Etudes franco-allemandes», Paris-Sorbonne), les 21 études réunies par Helga Abret et Michel Grunewald ont pour objectif, à partir de l'examen de cas représentatifs, de mettre en lumière les principaux facteurs qui ont structuré de 1871 à la veille de la Première Guerre mondiale la perception allemande de la France. Les «visions» présentées ici permettent, grâce aux différents éclairages choisis (presse politique, confessionnelle, culturelle, satirique, travaux d'historiens, manuels scolaires, oeuvres littéraires, réception de la littérature française...), de prouver que les représentations allemandes de la France d'avant 1914 étaient certes conditionnées par l'idéologie et la stratégie propres aux divers producteurs d'images mais que, par-delà les différences dont ils témoignent, les articles, livres, reportages suscités outre-Rhin par la France de la Troisième République révèlent l'existence d'un véritable fonds commun de représentations de l'autre et une tendance partagée par tous les auteurs évoqués à instrumentaliser à des fins d'ordre interne l'image qu'ils émettent du pays voisin.
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