Des incontournables et des révélations viendront s'ajouter à cette liste au fil des semaines !
Vie de carton ou la fable du déménageur suit l'existence précaire d'un individu qui tente, tant bien que mal, d'avoir une vie stable. On y rencontre les marginaux, dans un décor qui n'exagère aucun relief, sinon par humour, sans posture d'écrivain. Un réalisme touchant de simples vérités.
Le narrateur croit en la possibilité de vivre sans aide extérieure. Il tente tout: bitcoins, déménagement, pêche, plantation... Un « qui veut peut » qui renvoie à la force du vouloir d'une génération milleniale qui tente encore de croire au pouvoir de soi face aux inégalités criantes et systémiques. On y lit aussi la difficulté d'être père, en marge des modèles normatifs. Sans revendiquer quoi que ce soit, la marge se fait humaine dans l'écriture brute, belle et saillante de José Gsell.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
Des incontournables et des révélations viendront s'ajouter à cette liste au fil des semaines !
A gagner : des exemplaires de cette BD jeunesse sur fond de légendes celtiques !
L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Mêlant la folie à l’amour, l’auteur nous offre le portrait saisissant d’une « femme étrange » bousculant les normes binaires de l’identité sexuelle