Des incontournables et des révélations viendront s'ajouter à cette liste au fil des semaines !
Elle s'appelait Anna Dawidowicz. Quand elle est née, en 1928, ses parents venaient d'arriver de Pologne et avaient posé leurs valises dans le quartier populaire de Belleville, à Paris. Anna devint cette mère juive qui fut la mienne. Une mère juive superlative. C'était une femme simple, dont la simplicité n'excluait pas des traits singuliers : elle était enjouée, timide, colérique, jalouse, coquette, possessive, émotive. Je ne l'ai jamais vraiment comprise. Quelques décennies après sa disparition, je me suis mis au défi de parler d'elle, enfin, avec un peu de sérénité. Peut-être d'amour. H. R.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
Des incontournables et des révélations viendront s'ajouter à cette liste au fil des semaines !
A gagner : des exemplaires de cette BD jeunesse sur fond de légendes celtiques !
L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Mêlant la folie à l’amour, l’auteur nous offre le portrait saisissant d’une « femme étrange » bousculant les normes binaires de l’identité sexuelle