80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
La première histoire culturelle mondiale de l'alcool qui porte sur près de 9,000 ans.
Une histoire passionnante et inédite.
Le rôle de l'alcool dans la vie en société, que ce soit sous forme de vin, de bière ou de spiritueux, fut constant et souvent controversé. Rod Phillips jette dans cet ouvrage un regard original sur les moeurs et les mentalités en matière de consommation d'alcool. Il embrasse neuf mille ans d'histoire économique et culturelle et lève le voile sur les tensions qui existèrent entre les produits sains des régimes alimentaires quotidiens et les objets d'inquiétude sociale, politique et religieuse que sont les boissons alcooliques. Dans les villes d'Europe et d'Amérique, l'alcool fut perçu comme aussi salubre que l'eau non traitée ; il devint la boisson privilégiée, mais les autorités gouvernementales et religieuses le soumirent à plus de règlements que tout autre produit. Comme source potentielle de perturbations sociales, la consommation d'alcool créa des frontières capricieuses d'acceptabilité et d'inacceptabilité et transcenda les barrières de classe, de race et de sexe.
Rod Phillips traque les significations culturelles toujours mouvantes de ces puissantes boissons et en arrive à un étonnant raisonnement: certaines sociétés sont entrées dans des phases « post-alcool ». Son livre est le premier à examiner et à expliquer les significations et les influences de l'alcool avec une telle profondeur, sur une telle durée et dans une perspective mondiale.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Selma ne vit que pour les chevaux et c’est à travers eux qu’elle traverse cette période violente si difficile à comprendre pour une adolescente...
"Osons faire des choses qui sont trop grandes pour nous", suggère Maud Bénézit, dessinatrice et co-scénariste de l'album
"L’Antiquité appartient à notre imaginaire", explique la romancière primée cette année