Un douloureux passage à l'âge adulte, entre sensibilité et horreur...
Auguste Comte a fondé le positivisme comme philosophie des sciences et comme socio-politique. Celle-ci est étudiée ici comme politique des savoirs (t. I) et des pouvoirs (t. II, politique intérieure et extérieure). En un siècle, le positivisme se pluralise. Les positions du maître et des disciples sont confrontées.
Ce tome examine les rapports entre sciences et politique, qui débordent sur les rapports entre sciences et religion. Comte a développé sa politique scientifique en religion de l'Humanité ; la place et le rôle donnés à la science et aux savants dans la société ont questionné les disciples. L'importance donnée à l'enseignement-éducation et à la diffusion des savoirs retrouve les problèmes d'articulation sciences, politique et religieux. Comte voulait partout supplanter la réclamation égoïste des droits par les obligations du devoir et de l'altruisme. La politique de la science des positivistes mêle enthousiasmes, défiances et espérances utopiques.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
Un douloureux passage à l'âge adulte, entre sensibilité et horreur...
Blanche vient de perdre son mari, Pierre, son autre elle-même. Un jour, elle rencontre Jules, un vieil homme amoureux des fleurs...
Des idées de lecture pour ce début d'année !
Si certaines sont impressionnantes et effrayantes, d'autres sont drôles et rassurantes !