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Auguste Comte a fondé le positivisme comme philosophie des sciences et comme socio-politique. Celle-ci est étudiée ici comme politique des savoirs (t. I) et des pouvoirs (t. II, politique intérieure et extérieure). En un siècle, le positivisme se pluralise. Les positions du maître et des disciples sont confrontées.
Ce tome examine les rapports entre sciences et politique, qui débordent sur les rapports entre sciences et religion. Comte a développé sa politique scientifique en religion de l'Humanité ; la place et le rôle donnés à la science et aux savants dans la société ont questionné les disciples. L'importance donnée à l'enseignement-éducation et à la diffusion des savoirs retrouve les problèmes d'articulation sciences, politique et religieux. Comte voulait partout supplanter la réclamation égoïste des droits par les obligations du devoir et de l'altruisme. La politique de la science des positivistes mêle enthousiasmes, défiances et espérances utopiques.
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