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"Lorsque le rêve vous accapare, qu'il vous transporte dans un délire vers des limites inconnues et que la fibre de la folie s'en saisit, le chemin à parcourir s'étire vers des horizons incontrôlables qui vous captivent peu à peu et vous enchaînent. L'oeil, scrute le lointain du regard rempli d'une curiosité sans borne laissant derrière lui l'immaculée naïveté du plat passé de certitudes. C'est la lancée dans l'inconnu vers un ailleurs semé de zones d'ombres qui, implacablement, vous aspire de son aimant magique dans la spirale lumineuse qui vous éblouit. Rêve, ô rêve ! Rêve de voir ; de savoir ; de prendre et d'enfermer en soi la liberté nonobstant la violence partout et qui projette avec fureur la tragédie de la destruction et rappelle à l'errance.
Qu'importe. Anyr, ce bon vieux père s'enfonce dans les méandres de la mémoire aux contours érodés, guidé par des voix qui murmurent aux âmes restées accrochées à l'espoir et au rêve, aux êtres qui ont pansé leurs blessures, qui ont ramassé les parties de leur entité éclatée et de leur conscience torturée le chant de l'amour contre le nihilisme."
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