80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Le volume présente le dernier travail de Claire Chevrier (Pau 1963), personnalité toujours plus présente dans le monde de la photographie. Plusieurs points apparaissent dans ce travail, intitulé «Un jour comme les autres»: l'absence d'anecdote, d'évènement, de récit, et la banalité des motifs comprise comme le refus du spectaculaire. Il y semble que son travail relève du registre de la description mais sans la dimension technique ostentatoire de l'école allemande qui se complaît dans une froide objectivité. Sa neutralité est plus anodine, ce qui n'est pas à comprendre ici comme un jugement de valeur. Nous serions ainsi au-delà de l'enregistrement littéral du monde et de la question du document. L'ambivalence de l'espace de représentation est qu'une telle dénomination désigne à la fois l'image (cadrée, composée, etc.) et les décors urbains qui eux aussi s'inscrivent parfois dans un registre scénique. Il y a une mise en forme de l'espace social.
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